dimanche 19 juin 2011

Et si tu recevais ce courriel?



Assise au bord de la baignoire, je commence par flatter mon sexe du plat de la main. Hmmm je suis douce :) Je passe mon majeur le long de ma fente et m'enfonce facilement, car tu m'as bien donné envie, petit pervers.


http://www.forumfr.com/sujet383915-adozone-la-masturbation-feminine.html


J'enlève mon string, le dépose sans ménagement et enfin, j'allume l'engin... Le minimum, pour commencer. On dirait la caresse d'une main habile. De petits frissons traversent mon corps, mais rien de grandiose. Vitesse 2? Hmm pourquoi pas! Je bouge l'oeuf contre moi, imaginant que ta langue est en train de me fouiller, de me découvrir et de me prendre. Il m'en faut plus! Troisième vitesse! Mes cuisses tressaillent, je sens l'orgasme qui monte..

Juste avant de perdre le contrôle, je retire le vibrateur, laissant redescendre le plaisir pour mieux le ressentir ensuite. Je pense toujours à toi, à tes fesses fermes que j'aimerais tenir pendant que tu me labourerais sans retenue.

http://www.canoe.com/artdevivre/ellelui/article1/2009/07/08/10066166-ca.html

Bzzzzz...Encore, encore!! Ça monte, mes orteils sont arqués, je sens mon nectar couler entre mes fesses. Quel dommage de gaspiller... Il m'aurait fallu t'avoir tout près pour que tu puisses me lécher. Cette pensée m'achève.


Si puissant, si fort, je dois m'agripper au rebord pour ne pas tomber. Je mords ma lèvre inférieure et enfonce le vibro en moi, pour me sentir remplie, à défaut d'avoir ta superbe queue me pilonnant.
http://www.machronique.com/la-masturbation-et-ses-plaisirs-solitaires/la-masturbation-et-ses-plaisirs-solitaires/

Lentement, pendant une minute ou deux, je reprends mon souffle, caressant tout doucement ma chatte encore surprise de l'assaut qu'elle vient de subir.


mercredi 1 juin 2011

Je ne bois pas de bière, mais...



L'air conditionné à fond, une bouteille froide à la main, je te fixe, insistante. Qu'attends-tu? Je ne demande qu'un peu de ton temps, mais tu ne remarques rien. Je m'assois donc sur la table et croise mes jambes. Ma bouteille pleine de condensation m'appelle.

Ainsi, je peux la passer dans mon cou, sous mes cheveux relevés. Immédiatement, la chair de poule s’empare de moi, mais la fraîcheur est trop salvatrice. Il m’en faut plus. Ce petit haut blanc, noué à la poitrine que tu m’as offert est parfait pour que je m’adonne à cette petite douceur.


Du bout des doigts, j’écarte le tissu, laissant couler une à une les gouttes qui se forment sur le verre embué. Elles dégringolent, puis viennent se perdre sur ma peau chaude, pour venir mourir entre mes seins rebondis. Ceux-ci accueillent avec délice ce petit frisson, transformant pour quelques instants le creux de mon cou en oasis.


http://idata.over-blog.com/1/17/93/32/API/2007-09/seins-1.jpg

L’air froid qui pousse dans mon dos ne suffit pas à refroidir mes ardeurs. Ma jupe en lin semble trop lourde pour mes cuisses, que je décide d’écarter langoureusement. D’une main, je remonte l’étoffe, pensant déjà aux soubresauts qui s’empareront de moi dans l’instant. La bouteille bien en main, je l’approche, la faisant sinuer tout près de mes genoux, remontant tout doucement sur mes cuisses. La moiteur est palpable. La morsure qui s’en vient n’aura d’égal que le sentiment de plénitude que je recherche.

Respirant un grand coup, je fonce et colle la bouteille froide contre mon sexe nu, déclenchant une vague de frémissements sensuels. Je mords mes lèvres, pendant que les autres se font maltraiter. Oh, ce que je peux aimer ce petit jeu, lorsque le chaud et le froid se rencontrent, laissant ma peau écorchée vive, prête à tout subir pour la jouissance tant attendue.


http://zeblog.majest.net/chaque-matin-que-nos-corps-sunissent-dans-lombre-et-la-lumiere/


Le verre glisse longuement, lentement, délicatement sur ma fente, qui s’entrouvre pour l’accueillir. Je suis mouillée, excitée par le contraste et prête à plus. Si seulement tu voulais bien m’accompagner. Mais non. Tant pis, je n’ai pas besoin de toi! Fermant les yeux, je vois tout de suite une longue verge bien dure, qui saurait, j'en suis certaine, me prendre comme je le souhaite vraiment. J'aurais bien entendu dégusté ce sexe érigé pour moi avant de la laisser se fondre en moi, car rien n'est meilleur en bouche que le goût salé d'un homme excité.

D’un doigt, je me glisse en moi et à la chaleur que je peux y percevoir, je me dis que ce qui s’en vient sera orgasmique. Prenant le goulot entre mes doigts, j’enfonce lentement le bas de la bouteille dans ma chatte que tu aurais pu lécher et déguster si tu avais daigné lever les yeux. Il me faut quelques secondes pour respirer à nouveau, tant la différence de température est intense. J’entreprends un mouvement de va-et-vient, car je n’en peux plus. Il me faut cet orgasme!! J’enfonce et retire encore et encore cette divine bouteille, me crispant de plus en plus. Mes orteils ne peuvent se détendre, mes cuisses sont ouvertes au maximum et mes seins sont pointés à travers mon chandail. De ma main libre, je les malaxe, les pince, tortille mes mamelons et les soupèsent.


http://club.doctissimo.fr/jerem6699/diver-303388/photo/femme-assise-13339283.html


Mon souffle se fait soudainement plus court. J’augmente le rythme de la pénétration, laissant de côté mes seins pour me concentrer sur mon clito, gonflé de plaisir. Il ne suffit que d’une légère pression du bout du doigt pour que ma tête devienne trop lourde à supporter. Récupérant un peu de mon jus au passage, je le nargue avec plusieurs caresses du bout de l’index, provocantes et exaltantes. Je ne peux plus retenir ce cri primal, qui monte en moi et exige de sortir. M’affalant sur la table, une dernière poussée sur la bouteille achève le travail. Je suis en sueur, haletant, cherchant mon air. Des spasmes me parcourent encore, mais pas grâce à toi, il faut le dire.


Un orgasme bien mérité remet souvent les idées en place. Je peux tout faire sans toi, fous le camp!