mardi 19 février 2013

Enfin!

Ça fait des jours que je ne t'ai pas vu et tu me manques. Vraiment. Toute seule, je ne fais que penser à toi et à la sensualité que tu dégages. Il n'y a que toi pour me rendre femme.

Notre relation dure depuis des mois, mais tu finis toujours par repartir. Je te laisse faire, car je sais que je ne peux te mettre en cage, même si j'adore t'attacher. Je sais que tu viendras bientôt, mais je ne sais pas quand, ni comment.. Je dois me laisser porter et accepter ce que tu me donneras. Je suis prête.

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Ce soir là, il faisait canicule. Dans la douche, j'ai pris mon temps pour le simple plaisir de l'eau qui rafraîchissait mon corps. Mes boucles brunes tombaient en cascades sous le poids de l'eau et de la mousse qui dégringolait sur le bout de mes seins. Malgré ces sensations plaisantes, je ne voulais pas me caresser. Quelque chose me disait que je devais garder mes cris de jouissance pour toi, pour ta présence.

En sortant de la cabine embuée, je ne me suis pas séchée. Très confortable nue, j'ai laissé l'eau s'évaporer grâce à la brise chaude entrant par la fenêtre. Je me suis étendue sur mon lit, un livre à la main, puis je me suis endormie.

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Vers 3 heures, j'ai su que tu étais là. Sans ouvrir les yeux, je pouvais savoir que tu étais enfin avec moi. Personne n'avait les mains aussi douces que les tiennes, surtout lorsque tu les promenais sur ma peau nue, déclenchant ma chair de poule et les frissons que j'aimais tant. Mes mamelons en érection ne pouvaient cacher mon désir pour toi. Durs, ils demandaient ta bouche. Seuls tes mains, tes doigts, tes paumes voyageaient sur moi, comme si tu avais voulu garder l'explosion de nos sens pour plus tard.

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En m'habituant à la pénombre, j'ai enfin croisé ton regard. Tes yeux d'ordinaire si doux cachaient quelque chose, une pointe de perversité sans doute. Tu as sorti de ta poche un objet que je ne pouvais reconnaître sans lumière. Tu l'as posé sur moi, délicatement, puis tu m'as embrassée dans le cou, me recouvrant de ton corps. Tes lèvres et le genou que tu avais glissés entre mes cuisses me faisaient presque oublier ce bout de plastique, jusqu'à ce que tu l'allumes. Mon ventre s'est mis à vibrer légèrement et le sourire coquin qui a illuminé ton visage m'a fait comprendre très vite que j'allais passer un moment divin. Ta langue s'est alors aventurée tout près du jouet, léchant mon nombril, parcourant ma peau.

Je suppliais pour que tu prennes mes seins en bouche, juste un peu. Que tu me mordilles, me lèches, me tortures. Ce soir, tu ne m'écoutais pas. Tu me surplombais, majestueux. Tes larges épaules visibles à travers la chemise que tu portais et ton sexe gonflé contre ma cuisse. À cet instant, je m'avançai pour tenter de te toucher, mais tu stoppas ma course.

Te relevant sur les genoux, tu t'es déshabillé, déboutonnant ta chemise avec une lenteur exaspérante, faisant s'intensifier mes soupirs de maîtresse désirant être prise et comblée. Tes bras forts, musclés laissaient voir le tatouage rempli de mystère qui s'accrochait à ta peau. Ça m'excitait. Je ne savais dire pourquoi, mais ça me faisait carrément mouiller.


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Dès que je faisais mine d'avancer les mains pour te toucher, tu me retenais, m'empêchant d'avoir accès à ton corps, créant une colère sourde qui s'exprimerait encore plus fort sous tes coups de bassins. Mais il me faudrait attendre, même si je me sentais prête à te frapper pour obtenir enfin toute l'attention dont tu m'avais privée.

Ce jouet que tu avais apporté continuait de vibrer sur mon ventre lorsqu'enfin, tu t'es décidé à le placer entre mes cuisses brûlantes. J'étais tendue, excitée, il me fallait jouir. Écartant mes grandes lèvres, tu as déposé le bout vibrant de ton cadeau sur le repli de mon clitoris, coupant mon souffle. Ma tête, mes épaules et mon dos cambré étaient parcourus de soubresauts. Et tu me regardais. Petit vicieux, nu, bandé comme jamais... Je pouvais sentir la dureté de ton sexe, mon envie de le prendre en bouche n'en étant que plus forte.

Mes soupirs allaient enfin être entendus, je le sentais, puisque tu es venu te mettre à genoux à mes côtés, prenant ma tête entre tes mains. Très sur de toi, c'est en un coup de hanches que tu m'as enfoncé ta verge dans la bouche, me donnant enfin ce que je désirais tant. Avec douceur, je me frayais un chemin le long de ton sexe, prenant bien soin de sucer chaque centimètre avant de revenir faire pression sur ton gland durci et chaud. Tu adorais que je prenne tes couilles pleines dans ma main, serrant tes boules avec dureté. Rien ne m'excitait plus que de te faire monter encore, encore puis de m'arrêter, créant le vide de mes caresses. Je voulais que tu me supplies, que tu aies besoin de moi.

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 Allez, vas-y. Exige. Fais de moi ta chose, ta passion. Ta main empoigna mes cheveux, relevant ma tête avec force pour que je continue de te sucer. Mes lèvres et ma langue se remirent au travail, se concentrant sur le bout de ce sexe magnifique que tu m'offrais. Créant le vide, j'accentuais la pression sur toi, t'entourant de mon humidité, de ma chaleur. Et tu grognais. Tu me prenais la bouche comme si tu n'avais jamais eu droit d'y entrer auparavant, alors que j'avais de plus en plus de mal à me retenir de jouir, accompagnée des vibrations qui s'intensifiaient entre mes cuisses. Tu ne voulais pas que j'arrête, pas question. Je ne pouvais plus avaler, à peine respirer tant tu te démenais sous ma langue. Le dominant que tu étais n'en avait pas fini avec moi.

Me retirant mon délicieux plaisir sous la langue, tu m'as fait placer à quatre pattes juste pour le plaisir de me prendre comme une chienne. Mes fesses écartées, offertes entre tes mains, ta queue bien au fond de moi, tu te délectais de la voir entrer et sortir, luisante de mouille et si chaude. Je tendais la main pour prendre possession du jouet, mais j'en étais incapable. Mes genoux fléchissaient, je haletais tandis que ma tête s'enfonçait dans l'oreiller. Mes doigts faisaient rouler ma délectable bille rose au rythme de ta pénétration animale.

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FUCK!!! Encore!!! Je me caressais comme une affamée, incapable d'arrêter. Tes doigts marquaient ma peau, laissant la trace de tes ongles sur mon cul rebondi. Tu râlais de plus en plus. Je savais que tu allais jouir, alors j'ai resserré ma chatte autour de toi, t'empêchant de respirer. Entre, sors. Plus fort, plus vite. Dans la pénombre de la chambre, nos ombres créaient des dessins sur le mur blanc.Rien ne pouvait te reconnecter avec la réalité. Tu ne voulais que moi, encore plus profondément. Mes hanches nous faisaient danser, haleter. La douleur de la morsure que tu m'as alors laissée dans le cou était pour moi le signe de la bestialité qui nous unissait.

Je le sentais, il n'était plus question de reculer. Dans un cri, tu es sorti de mon antre pour venir arroser mon dos et la cambrure de mes reins de ton liquide blanc. En sentant les jets se déposer sur ma peau, je ne pus retenir un soupir, puis un cri de jouissance qui venaient tous deux du fond de mes entrailles.


Tu n'es plus jamais reparti depuis...



Pour toi, qui m'a redonné envie d'écrire et d'aimer xxx