mardi 8 février 2011

Résultats du sondage

Bonjour, petits voyeurs ;)

Intéressants, les résultats de ce sondage! Il semble que vous aimiez pour la plupart ce qui est chocolaté et facile à étendre sur les corps bouillants de vos partenaires! Certains d'entre-vous avez exprimé votre amour de la crème fouettée, qui s'amalgame tellement bien au sexe de la femme...

Pour les autres, j'espère que l'inclusion des bonbons dans ma précédente histoire vous a fait rêvasser à votre prochaine sortie à la confiserie ;)

Au plaisir!

ChocoPoire


dimanche 6 février 2011

Une petite douceur

J’étais assise au bureau aujourd’hui et je pensais à toi. Je sais que ça peut sembler cliché, mais je t’imaginais, occupée, la tête ailleurs, pendant que je t’observais et ça m’a mis l’eau à bouche. Tes épaules, tes cheveux, tes hanches pleines... Tu es magnifique en toutes occasions.

Je ne peux te cacher que j’étais plutôt d’humeur coquine, puisque lorsque j’ai remarqué qu’il n’y avait personne sur mon étage, je me suis laissée tenter par quelques petites caresses qui allaient me permettre de patienter jusqu’à notre rendez-vous du soir. La jupe de mon ensemble tailleur s’arrêtant au genou, il était facile pour ma main de se glisser sous le tissu pour titiller l’intérieur de mes cuisses, sentant toute la texture de mon string en dentelle.

Les yeux fermés, la tête lourdement posée sur ma chaise, je n’avais qu’à me dire que c’était toi que je sentais, que j’attendais. J’avais peur de me faire surprendre, mais c’est dans ces moments que les choses deviennent encore plus intéressantes. Ma rêverie aurait pu facilement me mener vers l’extase, mais je voulais me garder toute pour toi ma douce, alors j’ai été sage.

Enfin 16 h! J’ai quitté le bureau pour me rendre à la maison, où tu viendrais me rejoindre plus tard. Cependant, tu ne savais pas ce que j’avais en tête pour toi, pour te déguster comme tu le méritais. Inutile de dire que j’étais plus qu’impatiente lorsque je me suis préparée. Je portais une micro robe blanche, avec des bas résilles noir jusqu’au genou, retenu plus haut par de délicates pinces. Juchée sur mes escarpins vernis, j’étais plus que prête lorsque tu as cogné à la porte.

Encore plus belle que sur ta photo d’avatar, tu m’as saluée avec cette lueur plus que coquine dans le regard, signe que je n’allais pas regretter mon invitation. Avec un mouvement de l’index, je t’ai montré le chemin, car je savais que tu n’avais aucunement envie de parler. Pourquoi perdre notre temps?

Dans le salon, j’avais tiré les lourdes tentures et placé une couverture sur le plancher. À côté, j’avais laissé mon coffre de merveilles. Le feu de foyer était la seule lumière de la pièce et la seule source de chaleur. Face à face, un peu intimidées l’une par l’autre, nous nous sommes rapprochées, doucement, encore, jusqu’à ce que l’on puisse sentir le souffle de l’autre. Ma main s’est posée sur ton bras et instantanément, j’ai senti le frisson qui a parcouru ta peau soyeuse. « Embrasse-moi » ont été tes premiers mots. Je ne me suis pas fait prier pour plaquer ma bouche contre tes lèvres pulpeuses, sucrées et avides. Les bouts de nos langues ne faisaient qu’un. Tu me mordillais gentiment la bouche, ce qui n’a fait qu’attiser mon désir de te montrer tout ce que j’avais en réserve pour toi.

Je n’ai pas eu le temps de t’en parler que déjà, tes lèvres avaient laissé les miennes pour aller explorer ailleurs. De doux baisers légers comme la brise se posaient de mon cou jusqu’au bord de ma robe. Délicieusement agace! Ta main parcourait la courbe de mes hanches, une fois, puis deux, et soudainement, mes fesses t’ont fait de l’œil. À pleines mains, tu les as prises pour me rapprocher de toi encore plus. J’aimais la façon dont tu les malaxais, laissant libre cours à ton désir. Seulement, il me fallait reprendre le contrôle si je voulais pouvoir faire tout ce que j’avais prévu.

En te mettant un doigt sur la bouche, signe que tu ne devais aucunement parler, j’ai enlevé ton chandail, en le passant par-dessus tes épaules, en profitant pour en prendre une toute petite croquée en guise d’entrée. Je t’ai regardé défaire le bouton de ton jean, puis descendre la fermeture éclair, impatiente de voir ce que tu cachais là-dessous. Un minuscule string rose comme tes cheveux n’attendait que mes caresses, mais je me suis retenue, car je voulais t’admirer dans la pâle lumière dansante. Lentement, tu te balançais alors que tu faisais sauter les agrafes de ton soutien-gorge assorti à ta petite culotte. Une bretelle glissa sur ton épaule, puis l’autre aussi, dévoilant enfin ta poitrine menue et ferme. Dans la lueur du feu, grâce à la fraîcheur de la pièce, je te voyais déjà pointée sans même avoir eu droit à un coup de langue. Il me fallait remédier à cela, tout de suite!

Je t’ai fait asseoir, puis coucher sur la couverture et je me suis déshabillée pour tes beaux yeux. Ma toute petite robe blanche sans manches disparue rapidement pour s’amonceler à mes pieds. Je ne portais pas de soutien-gorge, te laissant tout de suite admirer mes seins pleins. Je fis glisser un doigt tout le long de la ficelle de mon string, sur mes hanches, pour finalement l’enlever complètement. J’étais donc debout, devant toi, complètement nue et affamée. Oh oui, tu allais être mon dessert.


Je me suis accroupie par-dessus toi pour qu’enfin nous soyons au paroxysme de la proximité, en collant ma peau tout contre la tienne. Mes longs cheveux rouges te caressaient au rythme de mes mouvements. Nos corps semblaient ne faire qu’un tellement je te sentais chaude tout contre moi. Nos poitrines se touchaient, mamelons à mamelons, pointées et ultra sensitive. Mes lèvres n’ont pas pu résister à cet appel, alors j’y ai transposé mes baisers profonds. J’avais envie de te mordre, de te donner la fessée, mais l’appel du coffre se faisait bien plus fort. En reprenant mon souffle, je me suis assise tout près de toi et j’ai ouvert la serrure. Tu étais des plus intriguées, le désir transperçant ton regard.

À l’intérieur se trouvait ma collection de jouets vibrants, avec laquelle j’avais l’intention de te faire jouir toute la nuit. J’y avais aussi laissé une bombe de crème fouettée, du chocolat fondant et… une sucette spéciale. Tes yeux étaient ronds d’étonnement et de plaisir non dissimulé.

Toujours couchée sur le dos, tu devenais ainsi ma toile. Prenant la bouteille de chocolat d’une main, je l’ai levée au-dessus de toi pour en verser sur ton ventre. Il était encore légèrement chaud. Avec mes doigts, je me suis amusée à dessiner sur ta peau, m’attardant sur tes seins, que je me suis empressée de déguster, du bout de la langue pour commencer, puis avec toute la largeur du plat de celle-ci. Divine saveur! Tu commençais à te cambrer, signe que je savais m’y prendre, mais je n’avais encore rien fait de bien méchant…

Sur le chocolat restant, j’ai saupoudré de petits bonbons qui scintillaient dans la lumière. Eux aussi sont passés sous ma langue experte, te faisant frissonner, surtout lorsque j’en vins à m’approcher dangereusement de ton sexe. Il manquait quelque chose à cette saveur chocolatée.

La bombe de crème fouettée me faisait de l’œil. Appuyant dessus pour faire la faire sortir, je l’ai tout de suite dirigée entre tes cuisses, recouvrant ta chatte toute rasée. Le contraste t’a fait sursauter, mais jamais autant que lorsque ma langue s’est posée sur ton clito plein de crème. Je te mangeais avidement, tu goûtais si bon, si sucrée, que j’ai réussi à te nettoyer en l’espace de quelques secondes. Je n’avais pas assez de toi, non pas assez. J’ai donc continué mon manège, promenant ma bouche sur ton sexe mouillé, montant et descendant le long de ta fente ouverte, que tu m’offrais sans aucun tabou. Je retenais tes cuisses qui tressautaient, tout en pointant ma langue à l’entrée de ton vagin, pendant que mon nez continuait de te stimuler le clito. Tu gémissais, tu en redemandais. C’était donc mon signal pour passer à l’étape suivante.

Dans le coffre, j’avais donc caché une sucette. Pas une sucette comme les autres, non. Une longue sucette, torsadée, nervurée et qui allait me servir pour te faire crier encore plus. Tout en continuant de te goûter du bout des lèvres, j’ai inséré le divin bonbon centimètre par centimètre dans ta chatte, te coupant le souffre et décuplant tes supplications. D’un lent mouvement de va-et-vient, je t’emplissais pendant que ma langue tournait autour de ce délicat petit bouton de chair rose. Les bruits de succion m’excitaient, je me sentais aussi mouillée que toi. Comme je ne voulais pas que la sucette fonde complètement, je l’ai retirée pour te goûter de plus belle.



Huuum!!

Tu n’avais pas encore atteint l’orgasme, ce qui était parfait, car je voulais t’en donner encore. Dans ma cachette, j’avais placé un gode à deux bouts, qui allaient nous servir à toutes les deux. Prenant ta main, je t’ai aidée à te redresser, toute chaude de plaisir que tu étais, pour que tu t’assoies face à moi, les jambes bien écartées. J’ai alors inséré un des bouts du gode en toi, admirant le spectacle de ta peau délicate s’ouvrant pour moi. Tes yeux se sont immédiatement fermés, signe que tu aimais ce que je faisais. J’ai donc inséré l’autre bout en moi, première caresse qui me prise par surprise de par sa force.

J’ai bougé mon bassin, t’invitant à prendre le rythme, jusqu’à ce que nous bougions totalement en harmonie. J’en profitais pour continuer de t’embrasser, alors que tes mains soutenaient ma poitrine qui bougeait en tous sens sous la danse de nos corps. Laissant mes seins, tu léchas ton doigt pour me titiller le clito, qui était rouge pompier tellement j’étais excitée. Je sentais que tu savais t’y prendre, certaine que je n’allais pas pouvoir tenir encore longtemps. J’avais chaud et l’extase était tout près. Lorsque tu m’as chuchoté « Vas-y, laisse-toi aller », je n’ai même plus eu envie de me retenir. J’ai jeté un coup d’œil à ton sexe rempli, sublime et l’ultime vague arriva.

Il m’a fallu un moment pour revenir à moi. Tu n’avais pas encore joui, petite coquine. Pourquoi ne pas essayer un petit vibrateur? Je n’ai eu qu’à le placer tout contre toi pour que les secousses te fassent plier les genoux, puis les orteils et finalement t’arracher un cri rempli de délivrance et de plaisir.

Forcément, nous étions toutes collantes, alors je t’ai invité avec moi sous la douche. L’eau chaude avait rempli la pièce de vapeur lorsque nous nous sommes glissées dans la cabine. Sous le jet, j’ai pris une éponge moussante pour délicatement t’enlever toute trace de sucre sur la peau. Lorsque ce fût mon tour de me rincer, tu m’as fait un clin d’œil et tu as pris le pommeau de douche. « Écarte tes cuisses » semblait un ordre, mais je n’ai eu aucune difficulté à le suivre. Tu as dirigé le jet entre mes cuisses, puis tu es remontée sur mon clito encore gonflé de nos ébats. Tout en douceur, tu inclinais l’eau pour qu’elle ne soit pas trop directe, créant un petit bouillonnement très plaisant. Il m’a fallu me retenir contre le mur lorsque ta langue s’est jointe à l’eau, me procurant un autre orgasme.

Nous nous sommes séchées, puis rhabillées, en nous promettant de recommencer. La fatigue l’emporta et cette nuit-là, je me suis endormie en pensant à ton petit look de gamine qui cachait une amante des plus sensuelles.


vendredi 4 février 2011

Fais-moi mal!

J’aime ce jeu auquel nous nous adonnons depuis un petit moment déjà. Tu sais? Celui où je t’assois de force sur cette grande chaise en bois dur et à laquelle je t’attache les poignets avec les menottes de fer, froides et cruelles?

J’aime te voir impuissant, j’aime avoir le contrôle. Oui, tu as compris. J’aime que tu sois soumis à moi, parce que je suis puissante et que tu ne peux rien me refuser. Ça m’allume de te voir pris ainsi.

Je ne porte que mes escarpins noirs, une petite culotte en dentelle, noire elle aussi et le chapeau dont tu m’as fait cadeau. Je m’avance vers toi, sur mes échasses et je me dandine, me tortille pour échauffer l’atmosphère. Tu ne croyais tout de même pas que j’allais tout de suite m’offrir à toi? Si? Comme c’est malheureux.

Je tourne autour de toi, rendant mes pas pesants, soufflant dans ton cou, glissant mes doigts sur tes épaules. Tu ne peux pas me toucher, ni même me regarder, puisque je suis derrière toi. Tu t’impatientes et ça me fait vibrer.

De retour face à toi, mon bel amant, je me positionne à quelques pouces de ton corps pour enlever ma petite culotte. Tu peux presque sentir la douceur de ma peau, presque. Lentement, centimètre par centimètre, le descends le tissu d’une légèreté indécente le long de mes hanches pendant que tu te mordilles la lèvre inférieure, bouillant de ne pouvoir l’arracher avec tes dents.


Sur la table basse, j’ai déposé ma longue plume et je m’en empare. J’aime la promener sur ma peau, car elle éveille mes sens. Dans mon cou, elle provoque de tout petits frissons. Sur ma poitrine, elle provoque mes mamelons en les faisant se dresser en ta direction. Mon ventre attend sa venue avec impatience, car j’y dessine du bout de la plume des arabesques qui se font de plus en plus sensuelles, car elles font parcourir la chair de poule sur toute la surface de mon corps, signe que je suis prête. Oh oui!


Je suis enfin prête à faire glisser ma plume là où tu aimes tant. Mais attends. Oui, attends encore un peu. Laisse-moi d’abord me retourner et la faire glisser le long de ma jambe gauche, de la cheville, en passant par mes mollets bien galbés, pour définir ensuite la courbe de ma fesse rebondie. Miam! On dirait une danse, tu ne trouves pas?

Oh la la, ne sois pas si impatient! Tu trépignes, tu forces sur tes menottes. Quel vilain! Ça te vaudra une punition! Je ne t’oublierai pas, promis! Ma plume toujours à la main, je me penche, ma croupe te faisant face. Les jambes légèrement écartées, je passe la plume dans l’espace ainsi créé, pour qu’elle vienne faire frissonner tout mon sexe. Une fois, puis deux, je ne me lasse pas de la douceur du geste. J’expire un peu plus fort, sentant l’excitation me gagner encore plus.

Comme je me lasse vite de toute chose, sauf de t’avoir à ma merci, j’allume une chandelle et pendant qu’elle fond lentement, je me plante devant toi. Tes yeux brillent dans la lueur dansante, car tu sais ce que je vais faire. Patience…

Je suis de celles qui font durer le plaisir. Longuement. Quand ça devient insoutenable, c’est le moment d’enfin savourer chaque vague. Pas avant. Je jette un regard à la chandelle. Non. Pas encore. J’en profite donc pour te donner encore plus envie de moi, toi qui es assis sans pouvoir me toucher. Toi qui n’as rien du mâle dominant en ce moment. Je me mets à danser au son d’une musique imaginaire, mimant tes caresses impossibles sur ma peau de braise. Mes coups de hanches sont lascifs, alors que je titille mon entrecuisse du bout d’un doigt expert. Dois-je te rappeler que je sais ce que je veux et ce qui me fait bouillir de plaisir? De l’index, j’ouvre le chemin vers l’intimité que tu souhaites si fortement atteindre. Hmm, je suis mouillée, déjà! Tu veux me goûter peut-être? Le doigt luisant de ma liqueur, je le porte à ta bouche et l’avidité avec laquelle tu me lèches me fait comprendre que ton boxer doit cacher une superbe érection.

La chandelle a fondu juste comme il le faut et je suis maintenant prête à te faire subir ta punition mon amour. Toute cette cire fondue serait magnifique sur ta peau. M’avançant vers toi, je prends la peine de t’embrasser dans le cou, sous le lobe d’oreille, car je sais que tu aimes cette caresse. Descendant juste ce qu’il faut, faisant peser mon corps contre le tien, je prends entre mes dents ton mamelon droit et je le mordille, faiblement et plus de plus en plus fort. Tu gémi, à peine un petit rien. Comme ça m’excite! Il manque cependant quelque chose.

Je m’étire pour atteindre la table basse sur laquelle git la plume de tout à l’heure. À ses côtés se trouve bandeau de soie, qui sera parfait pour te faire subir ma torture. À peine ai-je eu le temps de te le poser sur les yeux que tu me supplies de continuer. Pervers! Promis, promis, je te donne ce que tu veux! La chandelle n’attendait que ça, crépitant lentement. Commençant par quelques gouttes, j’ai laissé tomber de la cire sur ton torse. Ça te surprend toujours, mais la douleur t’attire. Tu en veux plus? Je laisse alors couler un long filet de cire fondue sur ton mamelon, m’amusant à souffler dessus pour la faire durcir. Tu sembles balancer entre la douleur et l’extase mon cœur. Aussi bien te faire tomber dans la démesure. Ma joue se pose contre ton sexe emprisonné depuis tout ce temps dans ton boxer serré. Il fallait que je le délivre.

Comme tu ne peux pas te servir de tes mains, il m’a fallu y aller avec la solution de secours. J’ai introduit ma main dans la fente de tissus, pour prendre ton sexe et le sortir de là. En effet, tu es bandé comme si c’était ta dernière chance. Ta belle queue longue et large me faisait de l’œil, mais comme je t’avais fait une promesse, il me fallait la tenir. D’une main, j’ai repris la chandelle, pour cette fois te verser de la cire pas seulement sur le torse, mais aussi sur le pelvis et inévitablement ton pénis. Le cri qui est sorti de ta bouche à ce moment précis m’a fait frémir de la tête aux pieds.


« Tu es vraiment la pire des chiennes!! » que tu me dis! Encore, encore!! Tu continuais de faire balancer la lourde chaise tellement tu étais excité. Pour te donner ce que tu voulais, je ne pouvais pas utiliser davantage de cire, car j’avais peur de te brûler trop lourdement. J’ai donc eu l’idée de faire réchauffer ma bouche en la plaçant au-dessus de la flamme pendant plusieurs secondes.
Tu ne voyais rien, rien du tout et c’est ce qui me plaisait le plus. Posant un genou par terre, puis l’autre, je pu facilement m’approcher sans faire de bruit. Retenant mon souffle, j’ai posé mes lèvres bouillantes sur ta verge et je te jure que je t’ai senti tressaillir sous ma caresse! De ma langue experte, je m’assure de ne laisser aucun centimètre de peau sans frissons. C’est ainsi que je t’ai pris complètement entre mes lèvres, faisant un va-et-vient lent, mais assuré. Ma main s’amusait à te prendre les couilles, car je savais que tu aimais bien.

C’est alors que tu m’as demandé de te détacher, privilège que je t’ai refusé, car mon idée de départ n’avait pas encore été réalisée. Pour te faire oublier ta déception, j’ai repris la fellation de plus belle, mettant du lubrifiant dans mes paumes, pour te faire découvrir la branlette espagnole. Frictionnant ta verge dressée, je te sentais déjà bouillant, mais lorsque je me suis avancée vers toi, entourant ta queue de mes seins doux et fermes, je pensais que tu ne pourrais pas te retenir.

Avec la branlette espagnole, tout est une question de pression. Quelques coups entre une poitrine qui te serre fermement, puis d’autres qui laisse respirer un peu ton sexe. J’ajoute alors la langue sur le gland qui se pointe dans le décolleté formé par ma poitrine bien pressée contre toi. Langue que je faisais fouineuse, pointilleuse sur ta peau rouge, tendue et douce.

Et moi? J’attendais depuis tout ce temps et je n’en pouvais plus. Je voulais être au centre de l’action. J’ai eu pitié de toi, je ne voulais pas que tu manques le spectacle que j’allais t’offrir, alors j’ai détaché ton bandeau, mais tes mains allaient rester derrière ton dos, c’était non négociable! Du haut de mes escarpins, je te regardais, ma langue se promenant sur mes lèvres. J’avais envie de te sentir en moi! J’étais dos à toi, et en écartant mes cuisses, j’ai pu me glisser le long de ta verge. Toute cette attention que je venais de te porter n’avait pas été vaine. Au contraire. J’étais si mouillée que mon miel ruisselait jusque sur mes cuisses. Inutile de dire que je me m’enfonçais sur toi sans aucun effort. Je n’avais qu’à contracter les jambes pour monter et descendre sur le long de ton sexe d’une dureté exceptionnelle. Tu me remplissais, me prenais sans même avoir tout le contrôle de ton corps et ça me rendait folle de désir. Une de mes mains pinçait mes mamelons, juste pour le plaisir de me faire souffrir un peu, alors que l’autre caressait ma chatte avec empressement, pour enfin faire monter le plaisir en moi. Ça n’a pas été long que mon souhait s’est réalisé. Mon souffle était court, mes mouvements plus saccadés. Tu râlais et même sans te voir, j’imagine ton visage crispé et ta bouche entrouverte sous la vague de sensations.

C’est alors que l’orgasme m’a envahie et sur ça, je n’avais aucun contrôle. Il faut dire que j’avais tout fait pour : Moi aussi, j’aime la chaleur de la cire sur un sexe en extase. Brûlante, coulante, comme moi, la symbiose était parfaite. Je tenais à peine sur mes talons, mais il me restait assez de force pour prendre la clé et te détacher…À moins que tu en veuilles encore?


Le voyeur

C'est bizarre comme le hasard fait bien les choses parfois. Quand j'ai emménagé ici l'an dernier, je ne savais pas ce qui m'attendait... J'ai la chance d'avoir une voisine, ma foi... Absolument divine.. Mariée, 2 enfants.. elle et moi partageons beaucoup plus qu'une simple politesse de palier..

Chaque soir, à 22 h 30, elle vient prendre sa douche... Et chaque soir, c'est un spectacle qu'elle m'invite à partager.. Je me poste à ma fenêtre, sans qu'elle ne le sache, sans qu'elle puisse me voir.

D'abord, elle défait ses cheveux bruns comme un délicieux chocolat, qui lui tombe en une gracieuse cascade sur la nuque. Elle se déshabille lentement, défaisant chaque bouton de son sévère chemisier, découvrant un soutien-gorge parfois bleu, parfois noir. Sa menue poitrine n'en a aucunement besoin, car lorsqu'elle s'en débarrasse, je peux voir de mon repaire que ses seins sont fermes, pleins, avec des auréoles claires. Elle passe ensuite à sa jupe, coupée à la mi-cuisse, qu'elle laisse descendre le long de ses jambes minces, bien galbées. Le tissu s'amasse à ses chevilles, puis elle le récupère en se penchant, dévoilant du même coup son joli fessier moulé dans une panoplie de petites culottes bateaux, ravissement féminin en dentelle et soie.

C'est à ce moment précis que mon souffle devient un peu plus haletant, car je sais que ce que je préfère s'en vient. La douche de la maison est en verre trempé, du sol au plafond, avec un banc placé pour que l'occupant puisse s'asseoir, ce qui me ravissait. Lorsqu'elle ouvre la grande porte, qu'elle pose sa serviette, le spectacle commence. Elle ouvre le robinet, réglant la température de l'eau et en attendant qu'elle soit parfaitement à son goût, elle se tient droite et cela me permet d'admirer son ventre plat, au nombril délicat, surplombant un Mont de Vénus qui invite aux baisers. Enfin! L'eau est parfaite aux goûts de madame, qui se glisse sous les jets. J'aime regarder sa tête qui se penche vers l'arrière, ses cheveux devenus lourds sous le poids de l'eau et ses seins, qui pointent doucement.

Elle prend alors son gel de douche et je m'imagine aisément être ses mains, me glissant sur son corps, les bulles de savon formant de gracieux dessins sur sa peau que j'imagine soyeuse. Je connais son rituel par cœur. D'abord, elle prend une noix de gel dans sa paume, puis le frotte avec l'autre main pour dégager la mousse. Ensuite, ma voisine se caresse le cou, puis la poitrine, avant d'entourer ses seins de savon glissant, luisant... Elle glisse alors dans son dos, visitant sa chute de reins du bout des doigts, pour finalement prendre ses fesses à pleines mains, les laissant elles aussi pleines de mousse. Sur le bout des pieds, elle se soulève pour venir se pencher et frotter ses jambes passant derrière le genou. C'est immanquable! À tout coup, je la vois frissonner. Je frissonne moi aussi, car malgré le joli spectacle, j'anticipe ce qui suit et mon caleçon se fait moins plaisant à porter. J'aurais tant envie d'être là, avec elle, pour la tenir contre le mur, écrasant son joli cul contre la vitre, passant sa jambe contre ma taille, pouvant ainsi la baiser, la baiser et la baiser encore...Malheureusement, je ne peux que la regarder, mais je ne suis jamais déçu de ce qu'elle m'offre.

Après, elle se rince. J'observe les bulles qui disparaissent et je me tortille sur mon siège, car ça s'en vient! Une fois qu'elle est bien propre, ma voisine se transforme en petite cochonne comme je les aime. Sur le banc, elle pose son jouet préféré, son dildo qui va sous l'eau, puis elle s'assoit, les jambes bien écartées. Je peux voir son adorable petite chatte, bordée par une toute petite ligne de poils bien épilés. Elle est si femme, si aguichante que j'ai souvent eu espoir qu'elle me laisse entrer par la fenêtre, qu'elle ne dirait pas un mot si je me postais près de la douche, le sexe en érection. Cependant, je suis toujours là, de mon côté de la vitre.

Comme je vous disais, elle écarte ses jambes et j'admire son sexe rougi par la chaleur. Pour bien frayer un passage à son sex toy bleu aqua, elle commence par s'humecter un doigt du bout de la langue, puis elle le glisse entre ses cuisses. Je découvre alors avec excitation ses grandes lèvres, roses, dodues, que je voudrais aspirer. En regardant encore, je la vois, qui chatouille du bout du doigt ce petit bouton de chair tendre, qui ressort de son sexe, qui appelle les caresses, les baisers. Oh, si je pouvais!! Je me jetterais à ses pieds, pour lui embrasser les chevilles, les mollets, les genoux! Je la mangerais, avidement, sans prendre mon souffle. Je titillerais son clito entre mon pouce et mon index, pour la faire crier de plaisir, lui enfonçant par la même occasion deux ou trois doigts.

Je ne suis qu'un homme. Un homme qui joue avec ce qui est défendu. Le caleçon dont je vous parlais plus tôt m'agace et je ne le garde jamais. Je préfère avoir libre accès à ma verge, que je prends d'une main, la serrant très fort pour ensuite la relâcher, faisant ainsi circuler le sang à une vitesse folle. Ça me fait bander encore plus et j'ai l'impression de la pénétrer, même si elle est mon fruit inaccessible. Connaissant la suite des choses, je m'arme d'un lubrifiant soyeux, à défaut d'avoir sa chaleur et son humidité tout contre ma queue.

Ma voisine est belle, mais elle est sublime lorsqu'elle commence à être excitée par ses caresses, car je vois frémir ses bras, ses yeux se ferment et sa bouche en en coeur semble dire "encore!". Le sex toy remplace alors ses doigts. J'en ai vu un semblable une fois, dans une boutique érotique. Elle a choisi le long modèle, avec des perles qui tournent en guise de gland. Elle le met en marche, lentement, je suppose que c'est la première vitesse, puis elle le pousse à l'entrée de son vagin. Je peux presque sentir ce que ça me ferait, à moi, d'ainsi me glisser en elle. Elle se l'insère pouces par pouce, puis elle met la vitesse maximum. C'est une vraie affamée, elle aime le sentir, je crois. Elle lui fait faire un mouvement de va-et-vient rapide, tout en se malaxant les seins de la paume de sa main. Elle en moule la forme, se pince les mamelons, s'agite et s'excite. Elle ne met jamais bien longtemps avant de jouir, moi non plus, car je suis là, à anticiper la finale depuis ce qui me semble une éternité.

Toujours en ayant le dildo en elle, elle se donne le coup de grâce en faisant de petits ronds sur sa chair. Son long index semble expert, il ne lui en faut pas beaucoup pour que ses pieds se raidissent, que ses fesses se resserrent, libérant ainsi un orgasme puissant, qu'elle ne doit pas laisser entendre trop fort. Je voudrais l'entendre, je voudrais qu'elle vienne contre moi, pour me saturer de son jus, de son corps. Je pense à la douce chaleur de sa chatte, que je pourrais sentir sur mon sexe, que je n'arrête pas de caresser tant et aussi longtemps que je n'ai pas, comme elle, ressenti les frissons du plaisir absolu. J'en avais presque terminé lorsque le déroulement des choses a subitement changé.

D'habitude, elle sort de la douche, se sèche et enfile sa chemise de nuit, mais pas ce soir-là. En fait, j'ai eu la surprise de voir la porte s'entrouvrir, laissant entrer son mari. Ils échangèrent des mots que je ne pus comprendre, mais la suite ne me laissa aucun doute sur ce qu'ils s'étaient dit.

Ce soir-là, il s'est posté près d'elle, la tenant dans ses bras, l'embrassant dans le cou... Elle se laissait faire, les yeux fermés, soupirant d'aise. À mesure où il parcourait son corps, je sentais ma jalousie augmenter, mais mon désir aussi.

Il léchait la pointe de ses seins, laissant la marque de ses doigts sur sa peau délicate. Descendant lentement vers son nombril, qu'il combla d'un délicat baiser, avant de se glisser entre ses cuisses, moites, et de découvrir sa chatte humide... Sa langue semblait avide de cette liqueur douce que je voulais moi même lécher... Je me sentais tiraillé entre l'envie de les rejoindre et celle de garder pour moi la vision de ma voisine si chaude une fois la nuit tombée. Il se débarrassa soudain de son boxer et il était on ne peut plus excité, tout comme moi. Il lui a fait signe de se pencher par devant et la vision des fesses sublimes, rondes et pleines de cette femme me donna le coup de grâce. Il glissa son gland le long de la fente de sa partenaire et il s'enfonça en elle doucement...C'est là que je me suis rendu compte qu'il la sodomisait contre le comptoir, faisant balancer poitrine. Je n'aimais pas vraiment cette pratique, mais de la voir se faire prendre ainsi, être soumise et en redemander, j'étais fou d'excitation! Son visage était rouge, son souffle court et elle semblait gémir, prise entre le plaisir et la douleur.

Son mari continua de lui enfoncer sa bite au plus profond d’elle-même, alors que seul de mon côté, j’en étais au point de non-retour. Le lubrifiant et ma main chaude en remplacement de sa femme, je me délectais du spectacle, m’imaginant très bien à sa place. Même si eux devaient garder le silence pour ne pas réveiller personne, je pouvais bien grogner tant que je le voulais. C’est en serrant mon gland dans mon point que j’ai déclenché l’orgasme que je recherchais. Les secousses ont parcouru mon échine, pour me faire trembler de la tête aux pieds. Je me foutais du dégât, je me foutais d’avoir pu me prendre, jusqu’à ce que je remarque que je n’avais pas éteint ma lampe de bureau. Pris de panique, je me suis calmé lorsque j’ai réalisé qu’ils ne m’avaient pas vu.

Lorsqu'ils eurent fini, ils se levèrent, fermèrent la lumière et la porte. Je n'en revenais toujours pas de ce que je venais de voir.

Le lendemain , en sortant pour aller au boulot , j'ai croisé ma voisine et son mari , et celle-ci me fit un clin d'œil, alors que lui me dit "Tu regardes, je baise ".


La cire

Un vendredi après-midi tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Je ne suis pas rentrée au boulot. Ça ne me tentait pas et honnêtement? Je m’en tape. J’avais un rendez-vous pour faire sortir la bête de sexe en moi. Non, bande de pervers, je n’allais pas faire une sieste crapuleuse... J’allais souffrir!

J’ai poussé la porte et je suis entrée pour me rendre compte que c’était pas mal mort. Probablement que les gens ne sont pas tous comme moi pour foxer un après-midi de travail! J’ai vu mon esthéticienne dans l’embrasure de son local. Elle a seulement levé l’index pour me faire signe et je l’ai suivi. À vrai dire, elle est tellement sexuelle dans tout ce qu’elle fait que je dois me retenir pour ne pas mouiller en y pensant. Elle est grande et elle porte toujours des escarpins quand elle travaille. Je pense qu’elle fait exprès, sachant très bien que son dos cambré fait rebondir ses fesses.

Tout en pensant à mes mains empoignant son petit cul sexy, je me suis allongée sur la table, prête à m’ouvrir pour la bonne cause. « Ce ne sera pas trop chaud » me dit-elle. Si seulement elle savait! Elle a la spatule agile. Je me demande si sa langue...

Il fallait que j’arrête, sinon elle verrait bien mon sexe s’exciter à sa vue. J’étais tellement concentrée que les coups ne me faisaient presque pas mal. Un petit tiraillement, rien de grave. En peu de temps, ce fût fini... C’est ce que je croyais.

« Et voilà, tu es toute douce maintenant. Tu permets que je... » Elle n’a pas fini sa phrase qu’elle me passait un linge humide qui me faisait frissonner après cette torture typiquement féminine. Il ne faut pas qu’elle me regarde dans les yeux, pensais-je. Et j’ai croisé son regard. La cochonne! J’ai bien vu qu’elle ne faisait pas ça pour enlever la cire qui restait sur ma chatte nue. J’ai soupiré d’aise et je crois qu’elle a dû prendre ça comme un signal, parce qu’elle m’a écarté les cuisses encore plus pour venir se placer entre elles, de façon à ce que son visage soit vraiment, vraiment près du mien. Elle respirait fort, visiblement aussi excitée que moi.

Je portais ma camisole blanche et j’avais fait exprès de ne pas mettre de soutien-gorge, parce que j’aime quand la brise me fait pointer. Mon esthéticienne n’était pas du genre tendre. Elle malaxait mes seins et elle pinçait mes mamelons si fort que c’en était presque douloureux. Presque. Hmmm.. Je pense que j’aime quand ça fait un peu mal! Elle s’est vite lassée de mon C-cup. Déjà connaisseuse de mon anatomie, elle se lança dans une exploration plus profonde. Avec l’ongle de son pouce, elle traça le chemin de mon nombril jusqu’à mes grandes lèvres, en appuyant juste assez fort pour que ça laisse une petite marque. Le soupir qui sortit de ma bouche l’a encouragée et elle a vite glissé ce même pouce dans ma chatte humide. Un pouce, puis l’index aussi. Ce n’était pas assez. J’en voulais encore.

« C’est tout? » dis-je, pour la provoquer. Elle inséra donc son majeur, puis son annulaire et ça commençât à tirer, mais putain, c’était bon! La frontière entre la douleur et le plaisir est bien mince. « Alors, tu aimes provoquer? Je pense que j’ai quelque chose pour toi! » Me dit-elle. Elle appuya alors sa main contre ma chatte et je la sentis s’ouvrir, encore un peu plus. Son petit doigt entra alors en moi et mon souffle en était coupé.

« Attends un peu, tu vas voir... » me chuchota-t-elle. Lentement, elle bougea un tout petit peu ses doigts. La douleur était moins forte. Elle se mit à faire tourner son poignet et c’est là que j’ai failli défaillir. Fuck! Je me faisais fist fucker!!

Le pire, c’est que j’ai aimé ça!! C’était pas mal difficile à cacher, surtout quand j’ai joui comme une vraie affamée...

« Ça te fait 52.00$ » dit-elle en sortant...

Le pensionnaire

Tu étais pensionnaire chez moi cet été-là. Je ne t’avais pas encore rencontré, mais ma mère m’avait demandé d’aller te donner un petit quelque chose. Je suis montée jusqu’au grenier, certaine que ce serait vite fait, mais tu étais dans la douche. J’ai attendu, attendu. Tu es finalement sorti, mais tu es tout de suite venu dans la chambre, ne sachant pas que j’étais là. Tes cheveux bouclaient à cause de l’eau et ton torse portait encore quelques gouttes. Flambant nu devant moi, tu n’étais même pas intimidé, alors que je ne savais plus où me mettre. J’ai tout de même pris une fraction de seconde pour détailler ton visage, qui affichait une confiance à toute épreuve. Je t’ai donné la lettre et je me suis sauvée, ne voulant pas en voir davantage.

Au souper, je ne pouvais pas te regarder. Tu me fixais et je sentais monter en moi une chaleur tout autre que celle de la température ambiante. J’ai dû serrer mes cuisses, emprisonnées dans une jupe droite, afin de calmer le feu qui brûlait de plus en plus fort. Lorsque tout le monde a eut fini, tu m’as demandé de venir avec toi jusque là-haut. Je sentais mon cœur battre dans ma poitrine, mais je voulais que la moiteur de mon sexe serve à quelque chose. Je regardais le plancher, ne pouvant pas soutenir ton regard. Tu m’as levé le menton du bout d’un doigt et tu as posé tes lèvres charnues sur les miennes. Ouf . Frissons. Tu promenais tes mains sur mes hanches pleines, me serrant un peu plus contre toi. Je glissais mes doigts sur ta nuque, dans ton dos. J’avais le souffle coupé. Nos bouches se sont séparées et ne sachant pas comment je devais réagir, je me suis enfuie.

Ce soir là, dans mon lit, j’étais si excitée que j’en ai profité pour faire redescendre la tension. Couchée sur le ventre, un oreiller soulevant mon bassin, j’ai laissé ma main descendre près de mon nombril, serti d’une toute petite pierre. Je trouvais ça mignon. En descendant encore un peu, je savais que j’allais toucher LE point qui m’attirait, mais il me fallait attendre pour que ce soit encore meilleur. J’ai fermé les yeux et j’ai revu ton corps mouillé, ce qui allait parfaitement avec mon sexe dangereusement coulant. Je m’amusais à chatouiller du bout du doigt les petites boucles blondes du ticket de métro que je venais juste de tailler. J’aime la douceur. J’étais enfin prête. Trois doigts enfoncés, avec le va-et-vient produit par la paume de ma main sur mon clito, il n’en fallait pas bien plus pour que je sois obligée de me mordiller la lèvre pour que l’on ne m’entende pas. Oh! Mes orteils se sont crispés, les muscles de mes jambes se sont tendus et j’ai ressenti une décharge me traverser le corps.

Les soubresauts n’étaient pas encore tous terminés que je repensais à notre rencontre, tout en me sentant tellement idiote d’avoir pris la fuite. Le lendemain, reposée après cette séance de masturbation nocturne, je suis retournée te voir pour m’excuser. Entendant le bruit de l’eau qui coulait, je me suis dit que je pouvais m’approcher un peu, histoire de voir sans que tu le saches, une envie d’être voyeuse l’espace d’un instant. Mais soudain, une main a ouvert la porte et m’a attirée dans la douche. J’étais bouche bée par autant d’audace, mais lorsque tu as commencé à m’embrasser, je laissé tomber toutes mes remontrances. Ta bouche quitta la mienne pour aller se nicher dans mon cou. Tu me déshabillas sans que je ne puisse protester. Je me suis retrouvée complètement nue, contre toi et ton érection. Un seul coup d’œil me permettant de constater que ton sexe moyen, mais au diamètre plus que large me permettrait de prendre mon pied. Lentement, tu caressas mon dos, tout en embrassant mes mamelons, pointés par le désir que tu faisais monter en moi. Tu me dis tout bas que les petits seins te faisaient bander et je n’avais aucun mal à te croire tant tu étais dur contre ma cuisse.

J’avais le souffle court lorsque tu m’as emmenée vers ton lit, mon cœur battait si vite à cause de l’envie que je ne savais plus où donner de la tête. Je t’ai poussé pour que tu tombes sur le dos. Je voulais te dominer et prendre maintenant le contrôle de la situation. Tu étais sous moi, et tu ne pouvais pas bouger. Couvrant ton corps de baisers, te faisant frissonner, je descendis tranquillement vers ton entre-jambes. Un petit coup de langue puis 2. Je me penchai sur ton torse pour faire jouer de mes cheveux sur ta peau, histoire d’être vraiment une agace après avoir réveillé ton gland à coups de langue. Je recommençai mon manège quelques fois et je vis bien que ça t’énervait. Ton impatience ne fit qu’attiser mon feu. Je pris alors ta verge en entier dans ma bouche. En aspirant. Un tout petit peu. Rien qu’un peu, pour te faire languir bien comme il faut. Ma main caressait tes testicules tout doucement, pendant que mes lèvres chaudes s’ouvraient et se refermaient sur ton gland. Plus j’augmentais le mouvement de va-et-vient, et plus tu gémissais. J’adorais sentir que tu ne pouvais plus bouger. Mais, je n’allais pas continuer. Non bien entendu.

Tu étais toujours sur le dos et tu me regardais fixement. Pourquoi ne continuais-je pas? Parce que j’en voulais plus. Je me suis couchée contre toi. Ta main se baladait sur mes cuisses. Hmmm, je les ai écartées doucement pour que tu glisses quelques doigts entre mes grandes lèvres bien gonflées. J’étais chaude, humide. Et je te voulais. Plus que tout. Je me suis sentie défaillir à la minute où tu as commencé à me caresser du bout de la langue. Je ne pouvais pas résister à la morsure que tu appliquais du bout des dents. Tu me tenais entre tes griffes et je ne pouvais pas m’échapper. On ne pouvait pas le nier, tu savais t’y prendre. Pour m’empêcher de monter trop vite, tu m’as fichu une claque sur la chatte! J’ai ouvert les yeux sous la surprise, prête à te dire ma façon de penser, quand j’ai réalisé que ça ne faisait que rendre ta langue encore plus douce sur mon sexe. Je serrais les draps pour ne pas crier tellement la caresse de ta bouche sur ma chatte était agréable. J’étais presque rendue au point de non-retour lorsque je me suis levée brusquement pour que tu me prennes. À 4 pattes devant toi, je ne pouvais plus attendre, je te voulais en moi, tout de suite! Tu taquinais l’entrée de ma chatte du bout de ton gland. Salaud!! En cambrant mon dos, je fis entrer toute ta verge en moi. Enfin! Je te tenais et te demandais d’aller plus vite et plus fort. Tes mains parcouraient mon dos, prenant parfois mes hanches comme appui, remontant de temps à autre jusque sur ma poitrine qui bougeait au rythme de tes coups de bassin. Mon plaisir était décuplé parce que je t’entendais gémir à mon oreille. Tu ne peux pas savoir combien tes soupirs m’ont inspirée.

Tu t’es mis à trembler, signe que l’orgasme n’était pas loin. J’ai alors avancé un peu, pour que tu sortes ta queue d’en moi, car j’espérais que ça dure plus longtemps. En te laissant le temps de respirer, je me suis levée et je t’ai fait signe de me suivre jusqu’à la porte-miroir de mon placard. Étant plus petite que toi, ce fut facile. Face à la porte, avec toi derrière, j’ai soulevé ma jambe pour que tu la soutiennes en m’enfonçant ta bite au plus profond possible. Ta bouche mordait ma nuque et tu étais davantage un animal qu’un amant. Avec les mains ainsi libres, je me suis amusée à me caresser comme la veille, pour avoir encore plus de sensations. Mon index tournait sur ma chair rougie par le désir et j’ai crié plus fort que jamais quand je t’ai senti venir en moi.

Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi amusant d’avoir un pensionnaire à la maison...


Dentelle Mauve

J’attendais ce party avec impatience. Je savais que tu allais y être. Je savais aussi que je me devais de rester calme, de garder le contrôle de la situation, parce que je ne savais pas comment tu allais me percevoir.

Enfin, l’heure est arrivée. Ça fait longtemps que je suis devant le miroir, à me faire belle, dans l’espoir de te plaire. J’ai même acheté des dessous neufs, peut-être les verras-tu?

Le cœur battant, je cogne. Mon esprit va à 100 à l’heure. La porte s’entrouvre et le temps s’arrête. Nos yeux se croisent et plus rien ne subsiste. Que toi et moi, dans l’air froid. Tu m’invites à entrer. Je sens dans ta voix que tu es nerveux. Ça me plaît!

Je salue les invités, je papillonne d’un groupe à un autre, mais mon regard finit toujours par se mêler au tien. C’est inévitable. On sent la tension sexuelle entre nous, le courant passe. Je t’évite, je me sauve. Mais je reviens toujours plus près de toi.

La soirée est bien avancée. Les gens dansent, ils ne font plus attention. Je te vois, tu es de dos et tu regardes par la fenêtre. Je m’approche sans faire de bruit, mais le reflet dans la vitre me trahit. Tu te retournes et tu me souris. Une décharge électrique me traverse le corps. C’est décidé, je fonce!

Je te fais signe de me suivre. Je trouve une pièce calme, la salle de bain du deuxième étage. J’entre, puis tu arrives tout de suite après. Je verrouille la porte et je vois que tu te poses des questions. Je me place face à toi et j’envoie mes mains dans ton dos, sur lequel je dessine des arabesques avec mes ongles. Je te sens te redresser. Le chemin suivi par mes ongles se change en caresse sur tes fesses, que je prends à pleines mains. J’en profite pour te rapproche de moi. Presque rien ne nous sépare. Mes yeux te sondent. Tu ne profites pour me dire que tu n’avais jamais remarqué à quel point ils étaient noirs…

Chuuut… Ne parle plus, je t’en prie. Je monte et descends sur la pointe de mes pieds, ce qui produit un mouvement de hanches contre ton sexe qui commence à durcir. Impressionnée par ta vitesse de réaction, j’en remets. Je pose ma tête dans le creux de ton cou et mes lèvres cherchent à découvrir ta peau. Je glisse des baisers de ton lobe d’oreille jusque sur la ligne de ton menton. Presque aussitôt, tu veux retourner ta tête pour goûter à mes lèvres si douces, mais non mon cœur, ce n’est pas encore le temps.

Ma main revient vers l’avant et elle se glisse de haut en bas sur le renflement de ton pantalon. Je sens bien ton pénis moulé dans ton jeans. Je détache le bouton..Je descends la fermeture éclaire… Mes gémissements te font perdre la tête. Je te sens frissonner de désir. C’est alors que je te murmure à l’oreille « j’ai envie de toi.. Fais-moi l’amour! »

À partir de ce moment, je te laisse le contrôle de tout. Tu ne te fais pas prier et tu me soulèves pour m’asseoir sur le comptoir de la salle de bain. Puisque je porte un léger chemisier décolleté, tu défais les boutons et tu dévoiles mon soutien-gorge. Ton sourire en coin me dit que tu apprécies mes achats. Il est vrai que la dentelle mauve me va plutôt bien. Tes baisers dans mon cou sont divins, mais je perds la tête lorsque tu t’approches de ma poitrine. Tu la tiens à pleine main, tu l’embrasses… Je sens tes mains défaire les agrafes. Tu fais descendre une bretelle, puis l’autre.. Pour découvrir mes seins gorgés de désir pour toi. Les mamelons d’un rose tendre sont durcis par mon excitation. Je ne demande que ta bouche pour les suçoter, ce que tu fais avec délices. Hmmmm… Je penche ma tête vers l’arrière, contre le miroir de la vanité. Ta langue est agile.

Pendant que tu fais pointer mes bouts avec de plus en plus d’insistance, ta main, cette coquine, se faufile sous ma jupe. J’ai pris la peine de porter seulement des bas aux genoux, donc rien n’entrave ta montée. Un frisson parcourt mon échine lorsque je sens ton doigt se promener sur mon string, lui aussi en dentelle. Je ferme les yeux, expire et il me semble alors que le temps s’arrête une fois de plus. Ta bouche quitte ma poitrine et tes mains remontent le tissu jusque sur mes hanches. Du bout des doigts, tu caresses ma chatte qui est humide comme jamais. J’écarte les cuisses, en prenant appui sur le comptoir. Je suis en équilibre, j’en veux encore.

Tu te penches entre mes jambes et tu viens poser un baiser chaud et doux sur la dentelle qui recouvre encore mon sexe. Quelle agace tu fais!


Je veux t’embrasser… Donne-moi ta bouche! Pendant que nos langues s’entremêlent, je glisse ma main dans ton pantalon, car je veux découvrir ton sexe depuis si longtemps enfermé. Je ne peux m’empêcher de soupirer de plaisir en voyant ta verge rougie par l’envie. Elle est belle à regarder. Je ne peux pas résister. Il faut que je la goûte. Je descends de mon comptoir et je me mets à genoux devant toi. Du bout de la langue, je viens appliquer une pression sur toute la longueur de ton sexe, puis je remonte en y jumelant des baisers. Tout près de ton gland, je change de tactique. Je prends ta queue dans ma main et je fais un va-et-vient lent et très doux. Ma bouche, quant à elle, se pose sur ton gland et ma langue dessine des cercles en faisant pression sur la zone la plus jouissive. Je t’enfonce plus profondément dans ma bouche. Ma langue tourne autour de ton sexe et je fais une petite pression avec mes dents. Rien de dangereux, mais j’aime jouer avec le feu! Hmmm, j’adore te sentir impuissant comme ça. Je suis si allumée que j’ai peur de ne pouvoir te laisser me pénétrer..

Heureusement, tu as d’autres projets pour moi. Tu te retires de ma bouche et me remonte sur le comptoir, en prenant bien soin d’enlever mon string au passage. Je suis devant toi, juste à la bonne hauteur. Avec ta verge, tu te promènes sur ma chatte.. Je suis si sensible que je ressens chaque passage. Oooh, je t’en prie, tu dois me prendre!!

Mon vœu s’exhausse enfin. Ton gland se fraie un chemin en moi. Je cambre le dos, c’est bon, tu sais. Tu places tes mains autour de moi et tu t’enfonces alors complètement. Mes gémissements se font de plus en plus fort!! Encore, encore! C’est si bon! Tu ne va spas trop vite, si bien que je peux profiter de chaque coup de bassin que tu donnes pour me pénétrer. Alors que je suis tout près de l’orgasme, tu te retires. J’ouvre les yeux, je veux comprendre! Tu me souris et tu me murmures qu’il faut savoir profiter des bonnes choses.

Tu me retournes, posent mes mains sur le comptoir et tu viens te placer contre moi. Tu joues avec ton sexe en faisant pression sur mes fesses, pour finalement revenir te mettre en position pour me prendre en levrette. Tu replonges en moi, mais cette fois-ci, en glissant ta main sur mon clito. Je suis si humide que tes doigts glissent sur ma chair, me faisant gémir de plus en plus fort. Je lève les yeux et mon regard se plonge dans le tien grâce au miroir. Je murmure un « baise moi!! » bien senti, parce que je n’ai plus aucune retenue, parce que je suis ta chose!

Tes coups de bassin se font de plus en plus rapides. Ça fait longtemps que j’ai du mal à me retenir de jouir. Tes caresses se font encore plus expertes et les spasmes s’emparent de nos corps. Je vois des étoiles, j’ai les jambes molles! Tu te retires, puis tu me serres tout contre toi. Je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi intense.

Nous prenons le temps de nous rhabiller, de prendre notre souffle. Nous sortons de la salle de bain ensemble, même si nous y sommes entrés séparément. Les regards des curieux qui ont remarqué notre absence ne se font pas attendre. Je leur décroche mon plus beau sourire!

Je me retourne et te murmure à l’oreille : « tu viens dormir chez moi ce soir? »


Croque la pomme

Oh, ce professeur. Le genre renfermé et discret. Il ne fait que ce qu’il doit faire, c’est-à-dire nous enseigner, mais s’il savait à quoi je pense pendant qu’il explique les diverses notions au tableau. Je regarde ses fesses, bien moulées à travers son jean. Elles ont l’air dodues et fermes, comme je les aime! Je m’attarde à la courbe de ses reins, et je m’imagine très bien, les jambes enroulées autour de lui, en train de le chevaucher sauvagement... Mais je sais qu’il ne se passera rien, puisqu’il ne sait même pas que j’existe!

Du moins, c’est ce que je croyais. La semaine dernière, juste avant le début du cours, lorsque je suis entrée en classe, nos regards se sont croisés, comme ça, sans raison. Ouf ! On pouvait sentir l’électricité passer! J’ai passé le cours complet à le manger des yeux, à me mordiller la lèvre inférieure, à faire vaguer mes cheveux pour dévoiler ma nuque. Je me demandais ce qui allait se passer.

Lorsque les élèves sont sortis, je me suis avancée à son bureau. Ma main tapotait sur le bois, signe de nervosité. Il a posé sa main sur la mienne, et je l’ai regardé. Ça n’a duré que quelques secondes, car il m’a embrassée à pleine bouche. Pour ensuite se diriger dans mon cou, juste sous l’oreille. Ça donne des frissons si agréables! Il a ensuite bifurqué vers mes épaules, qu’il s’est mis à dénuder tranquillement. Je ne portais qu’un chemisier léger, à qui il n’a laissé aucune chance de survie. Son nez farfouillait à l’intérieur de mon décolleté. Je me sentais défaillir. Mais je ne demandais que ça! Doucement, il a écarté ce soutient gorge que j’avais choisi avec soin, pour faire ressortir mes seins légèrement pointés... Il les a pris entre ses doigts, les caressant légèrement. C’était doux. Ils étaient lourds dans ses mains chaudes et lorsque sa bouche se posa sur mon mamelon durci par le désir, il était clair que je ne voulais plus reculer...

D’un coup, il balaya les feuilles, les cahiers et manuels de la surface de son bureau, et il me poussa sauvagement pour que je m’y étende sur le dos. Toujours en m’embrassant les seins, sa main descendit et chercha pour défaire mon jeans et le faire tomber par terre, à mes pieds. Dessous, je portais un string en dentelle noire et l’effleurement de ses doigts sur le long de ma fente humide me donnait un avant-goût de l’extase tant recherchée.

Le dos cambré, je poussai sa tête pour que sa bouche aille rejoindre ses mains. Ce qu’il fit, en accompagnant la descente d’une multitude de baisers donnés çà et là sur mon ventre. Enfin, je pus sentir son souffle sur ma chatte gorgée de désir. Je le désirais depuis si longtemps, je n’en pouvais plus! Il déposa sa langue, puis il fit de légers mouvements de haut en bas sur mon clito gonflé. Hmmm! Tellement bon! Les yeux fermés, j’avais du mal à respirer tellement mon plaisir était grand! Il introduit en moi quelques doigts, en continuant de me lécher, tantôt lentement, tantôt rapidement. Ses lèvres posées sur ma chair juteuse, son souffle chaud refroidi par sa respiration rythmée de coups de langue, j’étais conquise. Juste avant que je puisse réellement m’abandonner à la jouissance, il cessa ses caresses et se redressa.

Les yeux dans les yeux, il n’était plus nécessaire de parler. Je me redressai, pour lui enlever son pantalon et ses boxers. Sa verge était déjà bien dure, et je pus tout de suite commencer à lui rendre la pareille. Je la pris dans ma bouche, et il soupira doucement. Tandis que j’allais de haut en bas avec mes lèvres sur sa queue, ma langue se promenait doucement sur son gland, afin de le rendre complètement fou. Ma main caressait doucement ses testicules, et j’accélérai le mouvement de succion. Ce fut lui qui me demanda d’arrêter, parce qu’il voulait me prendre, là, maintenant, sur le bureau.

Afin de reprendre ses esprits, il fit glisser son gland sur la fente de ma chatte pendant quelques secondes, avant de l’enfoncer en moi. J’étais si humide et chaude, aucun effort à faire pour que l’on monte au septième ciel. Il me pilonnait si fort que mes seins se balançaient et que je devais me tenir contre le bureau pour ne pas tomber.

C’est alors qu’il me prit dans ses bras, qu’il me souleva et qu’il vint m’accoter contre le tableau. Il était toujours en moi, et j’étais sur le point de jouir. Je me retenais pour ne pas crier et alerter les gens qui marchaient dans le corridor. Mes jambes autour de sa taille, il continuait de me soulever pour me faire monter et descendre sur sa verge. Hmmm. Le cochon s’amusait à titiller mon clito ultra sensible, me tenant juste à la frontière du non-retour. Cette fois-ci, il était clair que je ne pourrais plus continuer longtemps. Mes yeux se fermèrent, et je m’abandonnai au plus formidable orgasme que j’ai pu connaître. Mes bras et mes jambes tremblaient, et j’avais le souffle court. Peu après moi, ce fut son tour, et il dût lui-même s’asseoir pour ne pas perdre la tête.

Sans un mot, je me suis rhabillée, il fit de même. Je le regardai une dernière fois, et je suis partie. Il n’y avait rien à dire. Sauf peut-être : à la semaine prochaine!


Un menu pour deux

Cette nuit, j'ai rêvé de toi. De toi et moi, pour être plus précise.

Tu m'avais contacté dans l'après-midi pour que nous allions manger ensemble, étant donné que nous étions amis sur facebook. J'ai dit oui, pourquoi pas! Je me suis faite belle, simplement pour me sentir à mon avantage, et je suis partie pour le resto. Une fois sur place, je me suis assise à la banquette et je t'ai attendu. J'ai pris le temps de respirer, car la nervosité se faisait sentir.

Puis, je t'ai vu entrer. Assez proche de l'avatar que j'admirais, parfois, sans te le dire. Grand, démarche assurée. J'aime. Je me suis levée, pour te faire l'accolade et tes bras m'ont tout de suite entourée. Ouf! Je ne m'attendais pas à ça. Le regard que tu m'as lancé m'a troublée, mais je n'ai rien dit. Je me suis assise, face à toi et le silence fût pesant

"Écoute.. Je te trouve superbe. Simple, dynamique et jolie ".

Je ne savais quoi te dire, la timidité l'emportant sur ma grande gueule. Nous avons commandé et tu ne cessais de frôler ma jambe avec la tienne. Ça me donnait des frissons et je crois que tu le sentais entre mes cuisses. Ma respiration se faisait courte. Allais-tu oser? Mais après, tu as eu l'audace que je n'avais pas. Tu as laissé tomber ta fourchette et tu t'es glissé sous la table. Ta grande main chaude remontant le long de mon mollet, puis sur mon genou et finalement se glissant sous ma jupe, elle s'est mise à la recherche de quelque chose... Un léger effleurement. Rien de trop.

Puis, tu t'es rassis, mine de rien, en me disant que tu cherchais à savoir si je portais quelque chose et si j'étais épilée. Devant tant d'honnêteté, je t'ai répondu du tac au tac qu'un string n'avait jamais empêché quoi que ce soit et que tu pouvais bien retourner voir pour la douceur.

Au dessert, bizarrement, tu as échappé ta cuillère et le manège reprit. Cette fois-ci, ce sont tes deux mains qui ont eu l'audace de remonter mes jambes jusqu'entre mes cuisses. Du bout des doigts, tu as remonté le long de la ficelle du string en dentelle que je portais. Chaud, doux et un peu fripon comme geste. J'avais juste hâte que tu me touches, peau contre peau. J'avais chaud, j'étais moite. Quel cochon! Je n'ai pu m'empêcher de soupirer quand ton doigt s'est aventuré à l'entrée de ma chatte. J'ai eu peur qu'on nous surprenne. « Remonte! » Que je t'ai lancé.

N'attendant même pas que tu sois assis, je t'ai pris par la manche en t'obligeant à me suivre. Le resto était tout de même occupé et je savais que les gens nous verraient aller aux toilettes. Et alors? Arrivé dans la pièce, je me suis assuré de bien pousser le loquet, même si me faire surprendre était un excitant. Je n'ai pas eu le contrôle bien longtemps. Tu m'as empoignée par la taille, me poussant contre le comptoir. Tu étais dos contre moi, le visage dans mon cou. Du bout des lèvres, tu jouais avec mon lobe, en glissant ta main sous mon string.

J'étais si humide qu'il n'y avait aucun autre choix, je l'ai glissé, puis enlevé pour que tu puisses enfin me faire jouir comme je le voulais. Je te sentais bien bandé dans mon dos, car tu te frottais au rythme de tes caresses. De la paume, tu me caressais le clito, mais j'en voulais plus, plus, plus!! Je me suis retournée, m'assoyant sur le rebord du comptoir, et j'ai pris ta tête pour la mettre au bon endroit. Je ne voulais rien d'autre! Allez, lèche-moi, soupirais-je. Tu n'as pas été difficile à convaincre, car à peine ma phrase terminée, tu t'adonnais à ce plaisir auquel tu excellais. Lentement, ta langue parcouru mon intimité, en appuyant aux endroits les plus délicieusement jouissifs.

Ma tête me semblait lourde et j'avais les jambes tremblantes. C'est alors que tu décidas de me faire subir encore mieux! Un doigt, puis deux, puis trois que j'accueillis avec plaisir. Je me mordais les lèvres, c'était si bon! Ta langue continuait de me parcourir, alors que tes doigts faisaient un va-et-vient de plus en plus langoureux. L'orgasme était là, tout près. Je voulais arrêter le temps pour en savourer chaque seconde. Entre tes dents, tu as pris mon clito, tu l'as mordillé, tout doucement. C’en était trop! J'ai été envahie par ces ondes de plaisir d’une force insoupçonnée. J'ai pris quelques secondes pour reprendre mon souffle, mais je n'avais qu'une envie, c'était que tu me prennes. Ton érection me donnait l'impression que tu avais une queue des plus excitantes. J'en profitai donc pour t'enlever ton pantalon et j'avais raison. Large, longue. Une verge pour faire des cochonneries! Je t'ai alors fait ce que je préférais..Une toute petite fellation pré pénétration. Hmmm!!!

En te massant la verge, je m'amusais à suçoter ton gland, puis à lui donner de grands coups de langue bien sentis .Tu sortis un condom de la poche de ton pantalon, l'ouvrit et je le mis entre mes lèvres pour te le glisser avec ma bouche. Une fois installé, les choses commencèrent vraiment à me plaire Le comptoir n'était pas très haut et ça m'a donné l'idée de mettre une jambe dessus, repliée pour que je sois bien offerte à toi.

Me prenant par la taille, ton sexe bien érigé vers moi, tu pouvais maintenant te glisser lentement, et profondément en moi, ce qui me coupa le souffle tellement c'était bon. Tes mains me tenait par les seins, que tu avais laissé libres en les défaisant de mon corsage.

Le rythme devait de plus en plus rapide. J'avais envie que ça dure encore et encore comme si tu m'avais comprise, tu me glissas à l'oreille "je n'ai pas fini avec toi, ma poire"... Et c'était reparti de plus belle. Je sentais tes couilles frapper tellement tu te donnais. Quel animal, c'était fou!! Tu te retiras, pour que l'on change de position et me faisant tenir contre le mur, les jambes. Face à toi, je n'avais envie que de t'embrasser pendant que tu me pénétrais, vite et fortement. Me sentais-tu, mouillée et chaude pour toi? Je n'en pouvais plus, mon cœur battait la chamade, j'allais jouir à nouveau.

J'ai compris que tu allais avoir aussi un orgasme et j'ai décidé de me laisser aller. L'espace d'un instant, j'ai perdu contact. Tremblotante, mais rassasiée, je me suis rhabillée devant toi, remettant mon string, ma jupe et mon chemisier..


Tu m'as promis que tu ne dirais rien à personne.. Mais moi.. Non!