C'est bizarre comme le hasard fait bien les choses parfois. Quand j'ai emménagé ici l'an dernier, je ne savais pas ce qui m'attendait... J'ai la chance d'avoir une voisine, ma foi... Absolument divine.. Mariée, 2 enfants.. elle et moi partageons beaucoup plus qu'une simple politesse de palier..
Chaque soir, à 22 h 30, elle vient prendre sa douche... Et chaque soir, c'est un spectacle qu'elle m'invite à partager.. Je me poste à ma fenêtre, sans qu'elle ne le sache, sans qu'elle puisse me voir.
D'abord, elle défait ses cheveux bruns comme un délicieux chocolat, qui lui tombe en une gracieuse cascade sur la nuque. Elle se déshabille lentement, défaisant chaque bouton de son sévère chemisier, découvrant un soutien-gorge parfois bleu, parfois noir. Sa menue poitrine n'en a aucunement besoin, car lorsqu'elle s'en débarrasse, je peux voir de mon repaire que ses seins sont fermes, pleins, avec des auréoles claires. Elle passe ensuite à sa jupe, coupée à la mi-cuisse, qu'elle laisse descendre le long de ses jambes minces, bien galbées. Le tissu s'amasse à ses chevilles, puis elle le récupère en se penchant, dévoilant du même coup son joli fessier moulé dans une panoplie de petites culottes bateaux, ravissement féminin en dentelle et soie.
C'est à ce moment précis que mon souffle devient un peu plus haletant, car je sais que ce que je préfère s'en vient. La douche de la maison est en verre trempé, du sol au plafond, avec un banc placé pour que l'occupant puisse s'asseoir, ce qui me ravissait. Lorsqu'elle ouvre la grande porte, qu'elle pose sa serviette, le spectacle commence. Elle ouvre le robinet, réglant la température de l'eau et en attendant qu'elle soit parfaitement à son goût, elle se tient droite et cela me permet d'admirer son ventre plat, au nombril délicat, surplombant un Mont de Vénus qui invite aux baisers. Enfin! L'eau est parfaite aux goûts de madame, qui se glisse sous les jets. J'aime regarder sa tête qui se penche vers l'arrière, ses cheveux devenus lourds sous le poids de l'eau et ses seins, qui pointent doucement.
Elle prend alors son gel de douche et je m'imagine aisément être ses mains, me glissant sur son corps, les bulles de savon formant de gracieux dessins sur sa peau que j'imagine soyeuse. Je connais son rituel par cœur. D'abord, elle prend une noix de gel dans sa paume, puis le frotte avec l'autre main pour dégager la mousse. Ensuite, ma voisine se caresse le cou, puis la poitrine, avant d'entourer ses seins de savon glissant, luisant... Elle glisse alors dans son dos, visitant sa chute de reins du bout des doigts, pour finalement prendre ses fesses à pleines mains, les laissant elles aussi pleines de mousse. Sur le bout des pieds, elle se soulève pour venir se pencher et frotter ses jambes passant derrière le genou. C'est immanquable! À tout coup, je la vois frissonner. Je frissonne moi aussi, car malgré le joli spectacle, j'anticipe ce qui suit et mon caleçon se fait moins plaisant à porter. J'aurais tant envie d'être là, avec elle, pour la tenir contre le mur, écrasant son joli cul contre la vitre, passant sa jambe contre ma taille, pouvant ainsi la baiser, la baiser et la baiser encore...Malheureusement, je ne peux que la regarder, mais je ne suis jamais déçu de ce qu'elle m'offre.
Après, elle se rince. J'observe les bulles qui disparaissent et je me tortille sur mon siège, car ça s'en vient! Une fois qu'elle est bien propre, ma voisine se transforme en petite cochonne comme je les aime. Sur le banc, elle pose son jouet préféré, son dildo qui va sous l'eau, puis elle s'assoit, les jambes bien écartées. Je peux voir son adorable petite chatte, bordée par une toute petite ligne de poils bien épilés. Elle est si femme, si aguichante que j'ai souvent eu espoir qu'elle me laisse entrer par la fenêtre, qu'elle ne dirait pas un mot si je me postais près de la douche, le sexe en érection. Cependant, je suis toujours là, de mon côté de la vitre.
Comme je vous disais, elle écarte ses jambes et j'admire son sexe rougi par la chaleur. Pour bien frayer un passage à son sex toy bleu aqua, elle commence par s'humecter un doigt du bout de la langue, puis elle le glisse entre ses cuisses. Je découvre alors avec excitation ses grandes lèvres, roses, dodues, que je voudrais aspirer. En regardant encore, je la vois, qui chatouille du bout du doigt ce petit bouton de chair tendre, qui ressort de son sexe, qui appelle les caresses, les baisers. Oh, si je pouvais!! Je me jetterais à ses pieds, pour lui embrasser les chevilles, les mollets, les genoux! Je la mangerais, avidement, sans prendre mon souffle. Je titillerais son clito entre mon pouce et mon index, pour la faire crier de plaisir, lui enfonçant par la même occasion deux ou trois doigts.
Je ne suis qu'un homme. Un homme qui joue avec ce qui est défendu. Le caleçon dont je vous parlais plus tôt m'agace et je ne le garde jamais. Je préfère avoir libre accès à ma verge, que je prends d'une main, la serrant très fort pour ensuite la relâcher, faisant ainsi circuler le sang à une vitesse folle. Ça me fait bander encore plus et j'ai l'impression de la pénétrer, même si elle est mon fruit inaccessible. Connaissant la suite des choses, je m'arme d'un lubrifiant soyeux, à défaut d'avoir sa chaleur et son humidité tout contre ma queue.
Ma voisine est belle, mais elle est sublime lorsqu'elle commence à être excitée par ses caresses, car je vois frémir ses bras, ses yeux se ferment et sa bouche en en coeur semble dire "encore!". Le sex toy remplace alors ses doigts. J'en ai vu un semblable une fois, dans une boutique érotique. Elle a choisi le long modèle, avec des perles qui tournent en guise de gland. Elle le met en marche, lentement, je suppose que c'est la première vitesse, puis elle le pousse à l'entrée de son vagin. Je peux presque sentir ce que ça me ferait, à moi, d'ainsi me glisser en elle. Elle se l'insère pouces par pouce, puis elle met la vitesse maximum. C'est une vraie affamée, elle aime le sentir, je crois. Elle lui fait faire un mouvement de va-et-vient rapide, tout en se malaxant les seins de la paume de sa main. Elle en moule la forme, se pince les mamelons, s'agite et s'excite. Elle ne met jamais bien longtemps avant de jouir, moi non plus, car je suis là, à anticiper la finale depuis ce qui me semble une éternité.
Toujours en ayant le dildo en elle, elle se donne le coup de grâce en faisant de petits ronds sur sa chair. Son long index semble expert, il ne lui en faut pas beaucoup pour que ses pieds se raidissent, que ses fesses se resserrent, libérant ainsi un orgasme puissant, qu'elle ne doit pas laisser entendre trop fort. Je voudrais l'entendre, je voudrais qu'elle vienne contre moi, pour me saturer de son jus, de son corps. Je pense à la douce chaleur de sa chatte, que je pourrais sentir sur mon sexe, que je n'arrête pas de caresser tant et aussi longtemps que je n'ai pas, comme elle, ressenti les frissons du plaisir absolu. J'en avais presque terminé lorsque le déroulement des choses a subitement changé.
D'habitude, elle sort de la douche, se sèche et enfile sa chemise de nuit, mais pas ce soir-là. En fait, j'ai eu la surprise de voir la porte s'entrouvrir, laissant entrer son mari. Ils échangèrent des mots que je ne pus comprendre, mais la suite ne me laissa aucun doute sur ce qu'ils s'étaient dit.
Ce soir-là, il s'est posté près d'elle, la tenant dans ses bras, l'embrassant dans le cou... Elle se laissait faire, les yeux fermés, soupirant d'aise. À mesure où il parcourait son corps, je sentais ma jalousie augmenter, mais mon désir aussi.
Il léchait la pointe de ses seins, laissant la marque de ses doigts sur sa peau délicate. Descendant lentement vers son nombril, qu'il combla d'un délicat baiser, avant de se glisser entre ses cuisses, moites, et de découvrir sa chatte humide... Sa langue semblait avide de cette liqueur douce que je voulais moi même lécher... Je me sentais tiraillé entre l'envie de les rejoindre et celle de garder pour moi la vision de ma voisine si chaude une fois la nuit tombée. Il se débarrassa soudain de son boxer et il était on ne peut plus excité, tout comme moi. Il lui a fait signe de se pencher par devant et la vision des fesses sublimes, rondes et pleines de cette femme me donna le coup de grâce. Il glissa son gland le long de la fente de sa partenaire et il s'enfonça en elle doucement...C'est là que je me suis rendu compte qu'il la sodomisait contre le comptoir, faisant balancer poitrine. Je n'aimais pas vraiment cette pratique, mais de la voir se faire prendre ainsi, être soumise et en redemander, j'étais fou d'excitation! Son visage était rouge, son souffle court et elle semblait gémir, prise entre le plaisir et la douleur.
Son mari continua de lui enfoncer sa bite au plus profond d’elle-même, alors que seul de mon côté, j’en étais au point de non-retour. Le lubrifiant et ma main chaude en remplacement de sa femme, je me délectais du spectacle, m’imaginant très bien à sa place. Même si eux devaient garder le silence pour ne pas réveiller personne, je pouvais bien grogner tant que je le voulais. C’est en serrant mon gland dans mon point que j’ai déclenché l’orgasme que je recherchais. Les secousses ont parcouru mon échine, pour me faire trembler de la tête aux pieds. Je me foutais du dégât, je me foutais d’avoir pu me prendre, jusqu’à ce que je remarque que je n’avais pas éteint ma lampe de bureau. Pris de panique, je me suis calmé lorsque j’ai réalisé qu’ils ne m’avaient pas vu.
Lorsqu'ils eurent fini, ils se levèrent, fermèrent la lumière et la porte. Je n'en revenais toujours pas de ce que je venais de voir.
Le lendemain , en sortant pour aller au boulot , j'ai croisé ma voisine et son mari , et celle-ci me fit un clin d'œil, alors que lui me dit "Tu regardes, je baise ".
Chaque soir, à 22 h 30, elle vient prendre sa douche... Et chaque soir, c'est un spectacle qu'elle m'invite à partager.. Je me poste à ma fenêtre, sans qu'elle ne le sache, sans qu'elle puisse me voir.
D'abord, elle défait ses cheveux bruns comme un délicieux chocolat, qui lui tombe en une gracieuse cascade sur la nuque. Elle se déshabille lentement, défaisant chaque bouton de son sévère chemisier, découvrant un soutien-gorge parfois bleu, parfois noir. Sa menue poitrine n'en a aucunement besoin, car lorsqu'elle s'en débarrasse, je peux voir de mon repaire que ses seins sont fermes, pleins, avec des auréoles claires. Elle passe ensuite à sa jupe, coupée à la mi-cuisse, qu'elle laisse descendre le long de ses jambes minces, bien galbées. Le tissu s'amasse à ses chevilles, puis elle le récupère en se penchant, dévoilant du même coup son joli fessier moulé dans une panoplie de petites culottes bateaux, ravissement féminin en dentelle et soie.
C'est à ce moment précis que mon souffle devient un peu plus haletant, car je sais que ce que je préfère s'en vient. La douche de la maison est en verre trempé, du sol au plafond, avec un banc placé pour que l'occupant puisse s'asseoir, ce qui me ravissait. Lorsqu'elle ouvre la grande porte, qu'elle pose sa serviette, le spectacle commence. Elle ouvre le robinet, réglant la température de l'eau et en attendant qu'elle soit parfaitement à son goût, elle se tient droite et cela me permet d'admirer son ventre plat, au nombril délicat, surplombant un Mont de Vénus qui invite aux baisers. Enfin! L'eau est parfaite aux goûts de madame, qui se glisse sous les jets. J'aime regarder sa tête qui se penche vers l'arrière, ses cheveux devenus lourds sous le poids de l'eau et ses seins, qui pointent doucement.
Elle prend alors son gel de douche et je m'imagine aisément être ses mains, me glissant sur son corps, les bulles de savon formant de gracieux dessins sur sa peau que j'imagine soyeuse. Je connais son rituel par cœur. D'abord, elle prend une noix de gel dans sa paume, puis le frotte avec l'autre main pour dégager la mousse. Ensuite, ma voisine se caresse le cou, puis la poitrine, avant d'entourer ses seins de savon glissant, luisant... Elle glisse alors dans son dos, visitant sa chute de reins du bout des doigts, pour finalement prendre ses fesses à pleines mains, les laissant elles aussi pleines de mousse. Sur le bout des pieds, elle se soulève pour venir se pencher et frotter ses jambes passant derrière le genou. C'est immanquable! À tout coup, je la vois frissonner. Je frissonne moi aussi, car malgré le joli spectacle, j'anticipe ce qui suit et mon caleçon se fait moins plaisant à porter. J'aurais tant envie d'être là, avec elle, pour la tenir contre le mur, écrasant son joli cul contre la vitre, passant sa jambe contre ma taille, pouvant ainsi la baiser, la baiser et la baiser encore...Malheureusement, je ne peux que la regarder, mais je ne suis jamais déçu de ce qu'elle m'offre.
Après, elle se rince. J'observe les bulles qui disparaissent et je me tortille sur mon siège, car ça s'en vient! Une fois qu'elle est bien propre, ma voisine se transforme en petite cochonne comme je les aime. Sur le banc, elle pose son jouet préféré, son dildo qui va sous l'eau, puis elle s'assoit, les jambes bien écartées. Je peux voir son adorable petite chatte, bordée par une toute petite ligne de poils bien épilés. Elle est si femme, si aguichante que j'ai souvent eu espoir qu'elle me laisse entrer par la fenêtre, qu'elle ne dirait pas un mot si je me postais près de la douche, le sexe en érection. Cependant, je suis toujours là, de mon côté de la vitre.
Comme je vous disais, elle écarte ses jambes et j'admire son sexe rougi par la chaleur. Pour bien frayer un passage à son sex toy bleu aqua, elle commence par s'humecter un doigt du bout de la langue, puis elle le glisse entre ses cuisses. Je découvre alors avec excitation ses grandes lèvres, roses, dodues, que je voudrais aspirer. En regardant encore, je la vois, qui chatouille du bout du doigt ce petit bouton de chair tendre, qui ressort de son sexe, qui appelle les caresses, les baisers. Oh, si je pouvais!! Je me jetterais à ses pieds, pour lui embrasser les chevilles, les mollets, les genoux! Je la mangerais, avidement, sans prendre mon souffle. Je titillerais son clito entre mon pouce et mon index, pour la faire crier de plaisir, lui enfonçant par la même occasion deux ou trois doigts.
Je ne suis qu'un homme. Un homme qui joue avec ce qui est défendu. Le caleçon dont je vous parlais plus tôt m'agace et je ne le garde jamais. Je préfère avoir libre accès à ma verge, que je prends d'une main, la serrant très fort pour ensuite la relâcher, faisant ainsi circuler le sang à une vitesse folle. Ça me fait bander encore plus et j'ai l'impression de la pénétrer, même si elle est mon fruit inaccessible. Connaissant la suite des choses, je m'arme d'un lubrifiant soyeux, à défaut d'avoir sa chaleur et son humidité tout contre ma queue.
Ma voisine est belle, mais elle est sublime lorsqu'elle commence à être excitée par ses caresses, car je vois frémir ses bras, ses yeux se ferment et sa bouche en en coeur semble dire "encore!". Le sex toy remplace alors ses doigts. J'en ai vu un semblable une fois, dans une boutique érotique. Elle a choisi le long modèle, avec des perles qui tournent en guise de gland. Elle le met en marche, lentement, je suppose que c'est la première vitesse, puis elle le pousse à l'entrée de son vagin. Je peux presque sentir ce que ça me ferait, à moi, d'ainsi me glisser en elle. Elle se l'insère pouces par pouce, puis elle met la vitesse maximum. C'est une vraie affamée, elle aime le sentir, je crois. Elle lui fait faire un mouvement de va-et-vient rapide, tout en se malaxant les seins de la paume de sa main. Elle en moule la forme, se pince les mamelons, s'agite et s'excite. Elle ne met jamais bien longtemps avant de jouir, moi non plus, car je suis là, à anticiper la finale depuis ce qui me semble une éternité.
Toujours en ayant le dildo en elle, elle se donne le coup de grâce en faisant de petits ronds sur sa chair. Son long index semble expert, il ne lui en faut pas beaucoup pour que ses pieds se raidissent, que ses fesses se resserrent, libérant ainsi un orgasme puissant, qu'elle ne doit pas laisser entendre trop fort. Je voudrais l'entendre, je voudrais qu'elle vienne contre moi, pour me saturer de son jus, de son corps. Je pense à la douce chaleur de sa chatte, que je pourrais sentir sur mon sexe, que je n'arrête pas de caresser tant et aussi longtemps que je n'ai pas, comme elle, ressenti les frissons du plaisir absolu. J'en avais presque terminé lorsque le déroulement des choses a subitement changé.
D'habitude, elle sort de la douche, se sèche et enfile sa chemise de nuit, mais pas ce soir-là. En fait, j'ai eu la surprise de voir la porte s'entrouvrir, laissant entrer son mari. Ils échangèrent des mots que je ne pus comprendre, mais la suite ne me laissa aucun doute sur ce qu'ils s'étaient dit.
Ce soir-là, il s'est posté près d'elle, la tenant dans ses bras, l'embrassant dans le cou... Elle se laissait faire, les yeux fermés, soupirant d'aise. À mesure où il parcourait son corps, je sentais ma jalousie augmenter, mais mon désir aussi.
Il léchait la pointe de ses seins, laissant la marque de ses doigts sur sa peau délicate. Descendant lentement vers son nombril, qu'il combla d'un délicat baiser, avant de se glisser entre ses cuisses, moites, et de découvrir sa chatte humide... Sa langue semblait avide de cette liqueur douce que je voulais moi même lécher... Je me sentais tiraillé entre l'envie de les rejoindre et celle de garder pour moi la vision de ma voisine si chaude une fois la nuit tombée. Il se débarrassa soudain de son boxer et il était on ne peut plus excité, tout comme moi. Il lui a fait signe de se pencher par devant et la vision des fesses sublimes, rondes et pleines de cette femme me donna le coup de grâce. Il glissa son gland le long de la fente de sa partenaire et il s'enfonça en elle doucement...C'est là que je me suis rendu compte qu'il la sodomisait contre le comptoir, faisant balancer poitrine. Je n'aimais pas vraiment cette pratique, mais de la voir se faire prendre ainsi, être soumise et en redemander, j'étais fou d'excitation! Son visage était rouge, son souffle court et elle semblait gémir, prise entre le plaisir et la douleur.
Son mari continua de lui enfoncer sa bite au plus profond d’elle-même, alors que seul de mon côté, j’en étais au point de non-retour. Le lubrifiant et ma main chaude en remplacement de sa femme, je me délectais du spectacle, m’imaginant très bien à sa place. Même si eux devaient garder le silence pour ne pas réveiller personne, je pouvais bien grogner tant que je le voulais. C’est en serrant mon gland dans mon point que j’ai déclenché l’orgasme que je recherchais. Les secousses ont parcouru mon échine, pour me faire trembler de la tête aux pieds. Je me foutais du dégât, je me foutais d’avoir pu me prendre, jusqu’à ce que je remarque que je n’avais pas éteint ma lampe de bureau. Pris de panique, je me suis calmé lorsque j’ai réalisé qu’ils ne m’avaient pas vu.
Lorsqu'ils eurent fini, ils se levèrent, fermèrent la lumière et la porte. Je n'en revenais toujours pas de ce que je venais de voir.
Le lendemain , en sortant pour aller au boulot , j'ai croisé ma voisine et son mari , et celle-ci me fit un clin d'œil, alors que lui me dit "Tu regardes, je baise ".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire