Chaque soir, je t’écoutais parler durant des heures. Je me laissais bercer par ta voix grave, sans jamais réellement comprendre ce que tu racontais, car je ne pouvais m’empêcher de t’imaginer. Je ne savais rien de toi et ce mystère était la source de bien des fantasmes. Je m’étendais sur mon lit, les yeux rivés au plafond et inventais tout de toi : ta carrure, ton odeur, tes fesses..Et je laissais parfois ma main se glisser entre mes cuisses, profitant d’un moment chaud qui ne me suffisait pas.
J’avais envie de toi, l’inconnu. Je savais qu’il n’y aurait personne à la station après les heures de bureau et cela me rassurait, me donnait encore plus de raisons de succomber à mes pulsions.
Chaque soir, je t’écoutais, mais ce soir-là, je n’en pouvais plus. J’ai pris ma voiture pour me rendre à toi. On aurait dit que je n’avais aucune conscience, juste un besoin à assouvir. La porte était verrouillée, j’aurais dû m’en douter. En faisant le tour des fenêtres, j’en ai trouvé une entrouverte, pour faire entrer le peu d’air qui bougeait encore en cette chaude nuit. Sans faire de bruit, je me suis faufilée à l’intérieur et je me suis mise à ta recherche. Seuls quelques luminaires étaient encore allumés, alors j’ai suivi la piste, qui m’a menée vers la porte fermée de ton studio.
La grande vitre qui servait de mur me permettait de te regarder, alors que tu étais dos à moi, ignorant ma présence. Tes cheveux étaient bruns, rasés et tu avais de larges épaules. Tout à fait mon type de mâles. Hmmm… Cela ne faisait qu’augmenter mon niveau de coquinerie. Du bout de l’ongle, j’ai frappé quelques coups contre la paroi et tu t’es retourné, surpris. Ton visage était encore mieux que la vue que j’avais eue précédemment. De grands yeux bleus, une bouche pulpeuse et une barbe de trois jours me donnaient envie de te sauter dessus sans me présenter.
- Mais qu’est-ce…?
- Chuuut.. Ne dis rien. Laisse-moi me présenter.
Profitant du fait que tu étais encore assis, je me suis jetée sur toi, faisant reculer ta chaise contre le bureau pour m’assurer que tu n’allais pas m’empêcher de faire ce dont j’avais tant envie. En m’appuyant sur un des bras de ton siège, je t’ai donné une vue plongeante sur mon plantureux décolleté, que j’avais mis en valeur pour l’occasion. En suivant la courbe de ma poitrine, j’ai laissé glisser ma main directement sur ton entre cuisses, pour savoir si tu étais réceptif. Pour en avoir le cœur net, je me suis agenouillée devant toi, ouvrant le bouton de ton short en denim et baissant ta fermeture éclair. Enfonçant ma main sous le tissu, je me suis emparée de ta queue pour la laisser sortir.
Pas mal du tout! Je me suis empressée de la goûter, d’abord du bout de la langue, comme lorsque l’on nous présente un plat inconnu, puis avidement, quand nous sommes certains d’aimer ce que l’on nous sert. Et toi, crois-moi, tu avais une saveur divine. En m’aidant de ma main et de son mouvement de va-et-vient, j’ai pu faire gonfler ton sexe à sa pleine capacité, admirant sa largeur et son diamètre. Je te suçais et tu me semblais si étonné que j’en rigolais. De haut en bas, ma bouche se refermait sur ta chair, alors que la succion te faisait fermer les yeux et mordiller tes lèvres. Tu coulais déjà, saveur salée, ce qui me faisait dire que tu aimais bien cette pipe.
Soudain, tu t’es assis bien droit, posant une main sur mon front et t’écriant « - Merde! La pause est finie! ». Eh merde, je dis-je. Tu n’allais quand même pas me laisser en plan comme ça, non? C’est alors que j’ai compris : tu allais mettre un mix pour que nous puissions tranquillement nous apprivoiser.
Tu imaginais sans doute que j’allais te laisser faire ça en me tournant les pouces? Nah! J’avais besoin d’action. Tout en te regardant expliquer à tes auditeurs pourquoi tu allais mettre un trente minutes de musique sans pause, je me suis mise à me caresser les seins par-dessus mes vêtements. Je portais une courte jupe en toile et une camisole à fines bretelles. Il était donc facile pour moi d’en baisser une, puis l’autre, afin de me retrouver seins nus près toi. Il faisait si chaud dans ton antre que j’en avais la peau moite. Du plat de mes mains, je soupesais ma poitrine, tout en ne négligeant pas de pincer légèrement mes mamelons. Je n’avais qu’une envie, et c’était de me les faire lécher par ta langue.
Heureusement, tu avais terminé ta tâche et c’est là que j’ai semblé prendre encore plus d’intérêt pour toi. Tu m’as prise par le bras pour me faire assoir sur ton bureau de travail. La lueur perverse que j’ai aperçue dans tes yeux m’a donné un frisson dans tout le corps. J’allais en avoir pour mon argent. Tu avais un bandana dans ta poche et tu t’en es servi pour me bander les yeux.
Le sens de la vue en moins, mon nez pris la relève. Tu t’es approché de moi et j’ai pu inspirer ton parfum. Instantanément, je t’ai embrassé dans le cou, mordillé la peau, pincé tellement j’avais envie de toi. Allais-tu enfin te décider? Ta bouche s’est alors assuré que je n’allais pas t’oublier de sitôt. Entre tes dents, tu as pris mon mamelon droit, tirant avec douceur, mais fermeté, produisant le mélange plaisir et douleur que j’aimais tant. Premier soupir de ma part. Tu alternais entre mes deux seins, pointés par le désir et le contraste de ton souffle sur ma peau humide. Je te voulais encore plus!
Comme si tu m’avais entendue, tu t’es empressé de soulever ma jupe pour dévoiler mon sexe, car je ne portais pas de culotte.
- « Je peux te voir ruisseler, petite cochonne! Je vais t’en donner si c’est ce que tu veux! »
Tu as enfoui ton nez dans ma chatte, gonflée et prête à te recevoir. Ta langue était chaude et tu étais doué! En premier, de petites léchouilles pour bien m’exciter, puis ensuite de grandes et intenses lampées pour me prendre tout entière. Lorsque tu t’es concentré sur mon clito, j’en ai eu le souffle coupé. À la manière dont un mange une mangue, tu l’as fait s’exposer, puis tu l’as entouré de ta langue, faisant des cercles autour de la chair, puis suçotant sans gêne la zone. Je ne pouvais parler, je prenais mon pied comme jamais. Tout ce que j’ai pu émettre comme son fût le « oui!oui! » servant de réponse à ta question : « tu aimes qu’on t’enfonce les doigts pendant qu’on te mange?
Doucement, tu as trempé tes doigts en moi, car j’étais chaude au point de couler pour toi. Cependant, je ne pensais pas que ça allait être de si courte durée, car ce n’est pas dans ma chatte que tu les as mis, mais plutôt dans mes fesses. On ne m’avait jamais fait ça auparavant. Je ne voyais rien, mais je t’ai entendu rire lorsque je me suis crispée.
- “fais-moi confiance, belle rousse. Ne t’en fais pas.”
Il a bien fallu que je respire et que je te laisse faire. Tout en continuant de me lécher langoureusement, tu as enfoncé ton index lentement en moi, écoutant ma réaction pour ne pas me faire mal. Étrangement, je ne trouvais pas ça désagréable, cette sensation d’être complètement remplie. Un petit mouvement de va-et-vient combiné à ta langue et mes orteils se sont mis à se crisper. Oh non, je n’allais pas jouir tout de suite. Pas question.
- “prends-moi maintenant!!”
Sans m’enlever mon bandeau, tu as stoppé net et tu m’as mise debout. Tu m’as fait faire quelques pas et c’est en sentant la vitre froide contre ma joue et mon ventre que j’ai compris. Je t’ai entendu baisser ton short puis le balancer dans la pièce.
Dans le creux de mes reins, je pouvais te sentir en érection et l’image de ta belle queue dure dans ma bouche me revint en tête. Tu me l’as enfoncée bien profondément et enfin, j’étais proche de toi comme je le souhaitais. Je te sentais contre moi, ton ventre dans mon dos. Tu me mordais l’épaule pendant que tu me prenais comme une chose, là, le visage et les paumes dans la vitre. Tes testicules battaient le rythme de nos ébats contre mes fesses, pendant que je continuais de m’exciter la chatte. Je voulais que tu viennes en moi, je voulais que tu te déverses, que tu m’appartiennes.
Tu n’en avais pas assez.
-“Mets-toi à quatre pattes!”
Je n’allais pas refuser une si belle offre. Le tapis était rugueux, mais je m’en foutais bien! Bien écartée, les seins battant la mesure, je t’ai senti te renfoncer en moi, centimètre par centimètre. Chaque poussée me faisait soupirer de plaisir et je sentais que l’orgasme n’était pas loin. Tu égratignais mon dos avec ta barbe lorsque tu m’embrassais, mais j’aimais ça. Je voulais avoir un petit souvenir de toi. Une dernière petite caresse sur mon sexe et j’avais enfin ce que je recherchais. Je me suis crispée, laissant échapper un râle musclé, profond, signe d’une jouissance peu commune. C’est avec une magistrale claque sur le cul que tu es venu en moi, laissant couler la dernière giclée sur la marque de ta main.
Tu as défait le nœud du bandana qui m’empêchait de te voir. Je me suis habillée, sans que l’on échange un mot. J’ai alors regardé la scène de notre crime, riant intérieurement de la découverte que feraient tes collègues le lendemain…
J’avais envie de toi, l’inconnu. Je savais qu’il n’y aurait personne à la station après les heures de bureau et cela me rassurait, me donnait encore plus de raisons de succomber à mes pulsions.
Chaque soir, je t’écoutais, mais ce soir-là, je n’en pouvais plus. J’ai pris ma voiture pour me rendre à toi. On aurait dit que je n’avais aucune conscience, juste un besoin à assouvir. La porte était verrouillée, j’aurais dû m’en douter. En faisant le tour des fenêtres, j’en ai trouvé une entrouverte, pour faire entrer le peu d’air qui bougeait encore en cette chaude nuit. Sans faire de bruit, je me suis faufilée à l’intérieur et je me suis mise à ta recherche. Seuls quelques luminaires étaient encore allumés, alors j’ai suivi la piste, qui m’a menée vers la porte fermée de ton studio.
La grande vitre qui servait de mur me permettait de te regarder, alors que tu étais dos à moi, ignorant ma présence. Tes cheveux étaient bruns, rasés et tu avais de larges épaules. Tout à fait mon type de mâles. Hmmm… Cela ne faisait qu’augmenter mon niveau de coquinerie. Du bout de l’ongle, j’ai frappé quelques coups contre la paroi et tu t’es retourné, surpris. Ton visage était encore mieux que la vue que j’avais eue précédemment. De grands yeux bleus, une bouche pulpeuse et une barbe de trois jours me donnaient envie de te sauter dessus sans me présenter.
- Mais qu’est-ce…?
- Chuuut.. Ne dis rien. Laisse-moi me présenter.
Profitant du fait que tu étais encore assis, je me suis jetée sur toi, faisant reculer ta chaise contre le bureau pour m’assurer que tu n’allais pas m’empêcher de faire ce dont j’avais tant envie. En m’appuyant sur un des bras de ton siège, je t’ai donné une vue plongeante sur mon plantureux décolleté, que j’avais mis en valeur pour l’occasion. En suivant la courbe de ma poitrine, j’ai laissé glisser ma main directement sur ton entre cuisses, pour savoir si tu étais réceptif. Pour en avoir le cœur net, je me suis agenouillée devant toi, ouvrant le bouton de ton short en denim et baissant ta fermeture éclair. Enfonçant ma main sous le tissu, je me suis emparée de ta queue pour la laisser sortir.
Pas mal du tout! Je me suis empressée de la goûter, d’abord du bout de la langue, comme lorsque l’on nous présente un plat inconnu, puis avidement, quand nous sommes certains d’aimer ce que l’on nous sert. Et toi, crois-moi, tu avais une saveur divine. En m’aidant de ma main et de son mouvement de va-et-vient, j’ai pu faire gonfler ton sexe à sa pleine capacité, admirant sa largeur et son diamètre. Je te suçais et tu me semblais si étonné que j’en rigolais. De haut en bas, ma bouche se refermait sur ta chair, alors que la succion te faisait fermer les yeux et mordiller tes lèvres. Tu coulais déjà, saveur salée, ce qui me faisait dire que tu aimais bien cette pipe.
Soudain, tu t’es assis bien droit, posant une main sur mon front et t’écriant « - Merde! La pause est finie! ». Eh merde, je dis-je. Tu n’allais quand même pas me laisser en plan comme ça, non? C’est alors que j’ai compris : tu allais mettre un mix pour que nous puissions tranquillement nous apprivoiser.
Tu imaginais sans doute que j’allais te laisser faire ça en me tournant les pouces? Nah! J’avais besoin d’action. Tout en te regardant expliquer à tes auditeurs pourquoi tu allais mettre un trente minutes de musique sans pause, je me suis mise à me caresser les seins par-dessus mes vêtements. Je portais une courte jupe en toile et une camisole à fines bretelles. Il était donc facile pour moi d’en baisser une, puis l’autre, afin de me retrouver seins nus près toi. Il faisait si chaud dans ton antre que j’en avais la peau moite. Du plat de mes mains, je soupesais ma poitrine, tout en ne négligeant pas de pincer légèrement mes mamelons. Je n’avais qu’une envie, et c’était de me les faire lécher par ta langue.
Heureusement, tu avais terminé ta tâche et c’est là que j’ai semblé prendre encore plus d’intérêt pour toi. Tu m’as prise par le bras pour me faire assoir sur ton bureau de travail. La lueur perverse que j’ai aperçue dans tes yeux m’a donné un frisson dans tout le corps. J’allais en avoir pour mon argent. Tu avais un bandana dans ta poche et tu t’en es servi pour me bander les yeux.
Le sens de la vue en moins, mon nez pris la relève. Tu t’es approché de moi et j’ai pu inspirer ton parfum. Instantanément, je t’ai embrassé dans le cou, mordillé la peau, pincé tellement j’avais envie de toi. Allais-tu enfin te décider? Ta bouche s’est alors assuré que je n’allais pas t’oublier de sitôt. Entre tes dents, tu as pris mon mamelon droit, tirant avec douceur, mais fermeté, produisant le mélange plaisir et douleur que j’aimais tant. Premier soupir de ma part. Tu alternais entre mes deux seins, pointés par le désir et le contraste de ton souffle sur ma peau humide. Je te voulais encore plus!
Comme si tu m’avais entendue, tu t’es empressé de soulever ma jupe pour dévoiler mon sexe, car je ne portais pas de culotte.
- « Je peux te voir ruisseler, petite cochonne! Je vais t’en donner si c’est ce que tu veux! »
Tu as enfoui ton nez dans ma chatte, gonflée et prête à te recevoir. Ta langue était chaude et tu étais doué! En premier, de petites léchouilles pour bien m’exciter, puis ensuite de grandes et intenses lampées pour me prendre tout entière. Lorsque tu t’es concentré sur mon clito, j’en ai eu le souffle coupé. À la manière dont un mange une mangue, tu l’as fait s’exposer, puis tu l’as entouré de ta langue, faisant des cercles autour de la chair, puis suçotant sans gêne la zone. Je ne pouvais parler, je prenais mon pied comme jamais. Tout ce que j’ai pu émettre comme son fût le « oui!oui! » servant de réponse à ta question : « tu aimes qu’on t’enfonce les doigts pendant qu’on te mange?
Doucement, tu as trempé tes doigts en moi, car j’étais chaude au point de couler pour toi. Cependant, je ne pensais pas que ça allait être de si courte durée, car ce n’est pas dans ma chatte que tu les as mis, mais plutôt dans mes fesses. On ne m’avait jamais fait ça auparavant. Je ne voyais rien, mais je t’ai entendu rire lorsque je me suis crispée.
- “fais-moi confiance, belle rousse. Ne t’en fais pas.”
Il a bien fallu que je respire et que je te laisse faire. Tout en continuant de me lécher langoureusement, tu as enfoncé ton index lentement en moi, écoutant ma réaction pour ne pas me faire mal. Étrangement, je ne trouvais pas ça désagréable, cette sensation d’être complètement remplie. Un petit mouvement de va-et-vient combiné à ta langue et mes orteils se sont mis à se crisper. Oh non, je n’allais pas jouir tout de suite. Pas question.
- “prends-moi maintenant!!”
Sans m’enlever mon bandeau, tu as stoppé net et tu m’as mise debout. Tu m’as fait faire quelques pas et c’est en sentant la vitre froide contre ma joue et mon ventre que j’ai compris. Je t’ai entendu baisser ton short puis le balancer dans la pièce.
Dans le creux de mes reins, je pouvais te sentir en érection et l’image de ta belle queue dure dans ma bouche me revint en tête. Tu me l’as enfoncée bien profondément et enfin, j’étais proche de toi comme je le souhaitais. Je te sentais contre moi, ton ventre dans mon dos. Tu me mordais l’épaule pendant que tu me prenais comme une chose, là, le visage et les paumes dans la vitre. Tes testicules battaient le rythme de nos ébats contre mes fesses, pendant que je continuais de m’exciter la chatte. Je voulais que tu viennes en moi, je voulais que tu te déverses, que tu m’appartiennes.
Tu n’en avais pas assez.
-“Mets-toi à quatre pattes!”
Je n’allais pas refuser une si belle offre. Le tapis était rugueux, mais je m’en foutais bien! Bien écartée, les seins battant la mesure, je t’ai senti te renfoncer en moi, centimètre par centimètre. Chaque poussée me faisait soupirer de plaisir et je sentais que l’orgasme n’était pas loin. Tu égratignais mon dos avec ta barbe lorsque tu m’embrassais, mais j’aimais ça. Je voulais avoir un petit souvenir de toi. Une dernière petite caresse sur mon sexe et j’avais enfin ce que je recherchais. Je me suis crispée, laissant échapper un râle musclé, profond, signe d’une jouissance peu commune. C’est avec une magistrale claque sur le cul que tu es venu en moi, laissant couler la dernière giclée sur la marque de ta main.
Tu as défait le nœud du bandana qui m’empêchait de te voir. Je me suis habillée, sans que l’on échange un mot. J’ai alors regardé la scène de notre crime, riant intérieurement de la découverte que feraient tes collègues le lendemain…