Et tu coules...

En sortant des draps, j'ai tout de suite su que j'étais de cette humeur coquine qui allait rendre ta journée exceptionnellement chaude.

Tu étais dans la douche depuis un petit moment déjà lorsque je suis venue discrètement entrouvrir la porte de la douche, pour te regarder sans que tu ne me voies. Tes belles fesses rondes ruisselaient d'eau et de savon, tandis que tu chantonnais. Tu n'avais pas senti ma présence et j'en ai profité. Sans faire de bruit, j'ai enlevé ma nuisette en soie, puis j'ai fait ouvert la porte. Tu m'as aperçue, toute nue juste pour toi.

Sans un mot, je me suis faufilée à l'intérieur de la cabine embuée et je me suis lovée contre toi. Ta peau mouillée sentait si bon que mes lèvres n'ont pu s'empêcher d'aller se perdre dans ton cou. Ma main se glissait dans tes cheveux, sur ta nuque et dans ton dos, tandis que mes seins se frottaient sur ton torse. En me collant davantage,
j'ai senti ton érection contre ma cuisse. Enfin, ce que je voulais!

Sans plus attendre, je me suis baissée, puis mise à genoux. Le jet de la douche tombait sur mes épaules. Ton sexe bien dur a ma portée, je pus enfin me sustenter. J'ai entrouvert les lèvres, que j'ai posées d'abord sur la base de ta belle queue, la couvrant de baisers. Ma main s'est offerte à toi, caressant délicatement tes couilles, comme un massage, pendant que ma langue se promenait sur ta verge.

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Puis, alors que je t'entendais déjà gémir, j'ai pris ton gland à pleine bouche, savourant sa douceur et le titillant du bout de ma langue agile. La pression combinée au va-et-vient allait avoir raison de toi mon coeur, mais je ne voulais pas que ça se termine aussi vite. J'ai ralenti la cadence, te gardant encore en bouche. Levant les yeux, je te regardais pendant que je te léchais, consciente de ce pouvoir que j'avais sur toi. À nouveau, ma langue s’est remise à l’œuvre, redoublant d’efforts pour que son manège soit un doux supplice, glissant sur le sillon de ton gland sur le point d'exploser.

Juste avant que tu n'exploses dans ma bouche, ta main s'est placée sous mon menton, me faisant signe de me relever. À nouveau debout devant toi, je me sentais si chaude qu'il me fallait moi aussi avoir un petit quelque chose de toi. Semblant comprendre ma requête, tu as placé ta main entre mes cuisses, le long de ma fente complètement nue, sentant ma chatte mouillée de désir. Du bout de l'index, tu t'es mis à me titiller le clito lentement, faisant monter en moi cette sensation d'extase.

Je n'en pouvais plus et du regard, je te suppliais de me prendre. Tu m'as collée au mur, soulevant ma jambe droite comme une plume pour l'enrouler autour de ta cuisse. Bien ouverte, je me donnais à toi. Tu t'es glissé en moi sans peine et j'avais du mal à garder cet orgasme qui semblait vouloir me foudroyer. Tes mains agrippaient mes fesses et ta bouche me dévorait le cou, tandis que mes seins étaient écrasés par ton torse.

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N'en pouvant plus, j'ai fermé les yeux et j'ai laissé monter le plaisir. Il m'a fallu me tenir à toi, car mes jambes étaient incapables de me soutenir tant j'étais frappée de soubresauts. Tu m'as regardée, puis toi aussi tu t'es laissé aller. J'ai pu sentir chaque contraction de ton extase et rien n'était plus sensuel que de te savoir comblé.

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